Retrouvaille entre un Tyran et une âme innocente [Caleen & Cameron]

__Elle était là et venait lui gacher l'horizon si doux. Elle était là et était un spectacle à elle même... Une si belle oeuvre, si flagrante que Cameron ne l'a voyait même pas. Trop près d'elle pour prendre conscience de sa beauté, de sa réalité de femme. La petite fille avait bien grandit mais son visage était resté le même, celui d'une poupée. Et quiconque aurait été à la place de Cameronl'aurait remarqué, 'Cee' était une belle fille. Mais lui, il ne pouvait pas, ne voulait pas. C'était comme une sorte de blocage, il ne s'en rendait pas compte, elle ne l'attirait pas comme les autres, comme ses putains, disait-il. Non, Cee n'était pas ce genre de fille... Elle l'attirait mais pour d'autre raison. Elle était mieux qu'une fille de plaisir, mieux qu'une passade, mieux qu'une amourette. Elle était sa confidente, une amie proche. Elle, il ne voulait pas avoir à l'abandonner pour une histoire de cul. Certain, il n'y aurait rien de plus. Mais elle, elle sera toujours sa Cee.

CAMERON - « Si tu ne me parles ni de correspond, ni de directeur, ni de l'école, tu es le genre de personne que je rêve de supporter, là maintenant tout de suite. »

Au loin, quelques élèves commençaient à sortir de la salle, on pouvait entendre le gloussement d'une fille un peu plus loin, discutant avec quelqu'un, surment son corespondant. Non, rien d'étonnant en réalité. Les pensées de tous les étudiants et les étudiantes suivaient le même cours à l'instant précis. Avec comme simple divergence la rapidité de réflexion et l'esprit critique s'exerçant sur ces nouvelles inopinées ...

CALEEN -Tu m'as manqué, Cam.

___Oui, elle avait raison sur ce point. Elle même, elle lui avait manqué. Cee avait une manière plutôt déconcertante de toujours énoncer à voix haute ses plus intimes pensées. Cameron y était habitué, quand elle pensait quelque chose, la jeune femme ne se gardait pas de le lui dire.


CAMERON - « Comment pourrais tu vivre sans moi ? »

Il esquissa un un franc sourire. Il était de ces personnes qui préféraient mourir que de se confier.

Généralement, les « légendes » (ou plutôt les rumeurs) disent que les pédophiles, juste avant de commettre un viol, demande à leurs proie si elles désiraient un bonbon, ou une sucrerie en tout genre. Et rien qu'à l'idée de lire un livre dans ce genre, Cameron en frémissait de dégoût, ses poils se hérissaient, il ne tenait plus vraiment en place... Rien que de penser au fait que cela arrive constamment dans le monde ... Ecœurant. Et pourtant …

CAMERON - «Tu … Tu veux une cigarette ?»

__Bien sur, il n'allait pas lui proposer des bonbons, il n'en avait pas, mais la première chose qui lui venait sous les mains était son paquet de Lucky Strike. Non, il n’allait pas la violer mais c’est vrai que le lieu lui donner quelques envies. Un grand hall, une cheminée, une rampe d’escalier. Les gloussements des filles, il pouvait oublier pour ce soir car il pensait à tout autre chose ! La chaleur de la cheminée, le beau lustre au plafond, la pénombre de la pièce et la rampe d’escalier et oui c'est l'endroit idéal pour une partie de jambes en l'air ! Alors si l'ambiance nous donne une envie de sexe et en plus il y a une jolie demoiselle avec vous, normalement rien ne peut nous empêcher de faire l'amour et puis la rampe d’escalier serait parfait pour ça non ? Oui, rien ne pouvait l’empêcher sauf sa partenaire. Mais cela n’étais qu’un détail minime qu’il allait détourner.

CAMERON - «J'ai d'autre envie»

__La conscience ... Une chose que nous n'avons pas a la naissance comme les papillons de nuit qui se donnent la mort en allant se bruler les ailes sur une lampe comme nous bébé qui touchons le feu ou qui nous nous jetons dans le vide ... Oui la conscience n'est pas innée ! Cette petite voix qui vous dit le bien et le mal, ce qui faut faire ou pas etc ! Cette conscience au sens moral, la capacité d'évaluer nos actions, de pouvoir nous juger. On pouvait dire que Cameron n’avait de conscience. Il s’avait bien que la jeune fille était vierge, qu’elle se destinée pour le grand amour et blablabla …
Alors Cameron ne se souciât guerre des protestation éventuelles ou le faite qu’elle pouvait s'éloigne de lui. Tout ce qu’il voulait, c’était l’exciter, et le mettre dans son lit. Point. Cependant, Caleen lui apportait trop pour qu'il imagine la jeter après une partie de jambe en l'air. Elle ressemblait au bien et lui se rapprochait du mal. Trop fière pour la laisser à un autre mais trop respectueux pour la faire souffrir. Car pour lui, l'amour - c'était faire l'amour. Le sentiment amoureux, les battements de cœur qui s'accélèrent, la folie, le besoin de l'autre à en mourir, ça il n'y croyait pas et ne l'avait jamais éprouvé. Cameron, c'était un dur, un fort. La vie était trop courte pour se perdre dans de telles futilités. Et même s'il devenait immortel, il vous trouverait bien d'autres excuses.


__Il glissa sa main sur une des bretelles de sa robe, et ses lèvres se mirent à frôler doucement son épaule, remontant sur son cou avec cette expertise qui n'était certainement pas un truc qui le rendrait millionnaire - à moins de faire gigolo peut-être - mais qui certainement lui permettait de rendre les filles gaga. Il se mit donc à lui murmurer des mots incompréhensibles, simplement à quel point elle était belle, des choses pour lui flatter son égo. Il savait que les filles comme elles adoraient ça, lui mordillant doucement la peau sensible du cou, murmurant son prénom dans cette voix aux teintes graves et sulfureuses qu'il se connaissait. Tout n'était qu'une question de patience.

__La Cigarette. Ce doit être l'invention la plus pourrie, la plus ignoble, la plus
traître qu'on ait pu inventer. Encore, on peut pardonner aux générations passé, car elles n'avaient pas été avertie des effets nocifs, etc, et que c'était un effet de mode, contrairement à aujourd'hui où cette dernière est renier de tous les cotés. La preuve, Caleen ici présente. Mais malheureusement, c'est aussi la mode de nos jours pour les adolescent immature que de se tuer à petit feu, que de parler suicide à longueur de journée, de prendre des drogues, de se tailler les bras. Mais la cigarette. C'est comme un pécher capital. C'est un truc qui aurait jamais du être inventé. Et le pire, je dis bien le pire, c'est que l'état nous baise. Et que tout devait être prévus depuis le départ, en fait. La fumé des cendres montait en direction du ciel en brume, telle la toxicose des anges. Et Cameron n'éprouvait rien, il ne ressentait strictement rien, rien à par un goût dégueulasse qui parcourait ses gencives, sa langue, d’autre aurait eu une envie de tousser jusqu'à en vomir de dégoût mais lui il en avait l’habitude. Sa faisait tellement longtemps maintenant, qu'il n'y faisait même plus attention. Pire, c'était devenue une habitude, quelque chose de « normal » dans sa vie quotidienne. Il avait même crée son emplois du temps, à peu près. La clope du matin, celle du midi, celle de l'après midi, 16h c'est mieux, et n'oublions pas celle du soir, et encore moins celles qui se trouvent entre toutes ces pauses. Pourquoi continuer dans ce cas, si c'était pour se pourrir ? Parce que, pensa Cameron en tirant une taffe, l’homme était un être faible. Parce qu’une fois qu’on était tombé accro à quelque chose, on passait un CDI (contrat de dépendance infinie) avec la chose en question. La chose était le patron. Elle avait une emprise totale sur vous, pouvait vous rendre invulnérable aussi bien que vulnérable. Elle vous faisait planer et vous rendait malade à la fois. Elle vous créait des problèmes et vous en dégageait à la fois. Mais surtout, surtout, vous ne pouviez espérer survivre sans elle. On n’arrive jamais vraiment à s’en débarrasser, la chose reste là, bien cachée dans les méandres de votre esprit, toujours prête à refaire surface.

CALEEN - « Ça aurait était avec plaisir mais tu sais très bien que je ne fume pas.. »

CAMERON - « Tu devrais essayer comme beaucoup d’autres choses …»

__Il a perdu la bataille mais pas la guerre. Il avait su qu’elle allait le rejeter, comme à chaque fois qu’il essayer de la draguer pour pouvoir avoir la seule chose qu’elle ne lui donnerais pas : sa virginité. Elle lui apportait tous dans sa vie, l’amitié, le réconfort, le soutient. Caleen était tout cela à la fois pour lui mais il ne pouvait supporter sa naïveté, sa généricité, qui ne fessait que montrer ce qu’il n’était pas, mais malgré tout cela il ne pouvait s’empêcher de … oui l’aimer. Un amour passionnel, fusionnel. Il savait qu’elle serait toujours là si il avait un soucis mais il voulait plus, il voulait ce que personne n’avait déjà eu, il voulait lui faire connaître la passion sexuelle. Il voulait être le premier. Et il allait persévérer pour avoir ce qu’il voulait. Il a perdu la bataille mais pas la guerre. Chaque femme a des besoins, des désirs. Même Caleen ! Ces gestes, son soupir, sa négation de la tête. Elle luttait, elle résister. Mais pas pour bien longtemps. Il devait juste la titiller un peu … plus.

__Parce que c’est elle, il ne l’a laisserait jamais tomber. Parce que c’est toi, il ne l’a laisserait partir. Mais tout cela, elle le savait. Jamais, il ne partirait, jamais il ne l’a laisserait tomber. Oui, elle avait souvent entendu c’est aventure ou toute ce terminer de la même façon : oui, il quitte sa partenaire d’un soir avant qu’elle ne se réveille. Mais, elle n’avait pas à entendre que non il ne partirait pas, il resterait.


__Il glissa sa seconde main sur sa hanche, la regardant dans les yeux, malicieux, un peu taquin, surtout et absolument joueur. Comme à son habitude, au fond. Il se rapprocha d’elle, Cameron sentait la tentation lui monter une envie de la prendre. Oh oui, une simple envie de sexe simplement. Pour Cameron, le sexe était un besoin primaire. Une sensation de survie. Son autre main lui caressant sa cuisse légèrement dénudé avant de l’embrasser sur le cou. Son point fort ? Il l’a connais ainsi ce qui la fait craquer.

CAMERON - « Ne t'inquiète pas pour sa »

Souvent, on qualifié Cameron de Don Juan, qui sauter sur tout ce qui bouge !
Bien sur, il avait quand même des préférences, il ne supportait pas celles qui
se jetaient à son cou, et qui auraient accepté tout & n'importe quoi s'il le
leur avait ordonné. Non, en général, il adorait voir des femmes qui prétendaient
lui résister -et qui lui résistaient pendant...2 jours- avant de s'abandonner
dans ses bras musclés. Bien sur, son comportement était franchement nul,
lui-même le savait, mais il ne pouvait s'en empêcher, c'était son petit rituel.
Et Caleen était décidément le genre de filles que Cameron adorait. Inaccessible,
mystérieuse, arrogante. Cependant il aurait du revoir son scénario lorsqu'il
s'était retrouvé en face de Caleen. Il n'avait pas l'habitude d'être repoussé
plus d'un soir. Il avait pensé qu'elle serait une de plus, elle résiste un peu,
histoire de ne pas être considérée comme une fille facile, puis elle craque,
passe une nuit endiablé dans le duplex de Cameron avant d'être congédiée de
manière plutôt abrupte le lendemain matin. Bien sur, avec elle se serait
différent il la reverrait presque tous les jours et il lui rappellera comment
elle a perdu sa virginité. Mais évidemment, les choses ne s'étaient pas passé
comme prévues. Elle semblait déterminée à faire semblant qu'il n’y aura rien
entre eux. Cela ne fit que renforcer son envie de la séduire. Il s'était mis en
tête coute que coute de la faire craquer, et rares étaient les femmes lui
résistant. Il pensait avoir réussi à lui avoir fait de l‘effet. Son air
indifférent ne trompait personne, encore moins le jeune homme, qui avait vu des
dizaines de femmes dans son genre. Elles adoraient feindre l'indifférence, l'air
blasé, mais néanmoins assuré. Et Cameron, d'aussi loin qu'il se souvienne, avait
toujours réussi à les faire craquer. Il ne voyait pas pour quelles raisons cela
ne marcherait pas avec Caleen.

CALEEN - « Eh oh mon grand, calme toi. Je suis pas l'une de tes poupées
gonflables que tu jette après avoir tiré un coup. Tu m'auras pas de cette façon.
D'ailleurs, tu ne m'auras sûrement jamais.. Et, en plus de ça, je sais que tu ne
ressent rien pour les filles avec lesquelles tu couche. Je me trompe ? »

Oui, là, il était sur que sa fierté venait d'en prendre un sacré coup. Lui qui s'attendait à une réponse proche de la déclaration d'amour, elle venait clairement de lui faire comprendre qu'elle ne comptait pas perdre de temps avec lui. Elle était sacrément coriace ! Mais tant mieux, Cameron adorait les défis, et savourerait encore plus sa victoire. Il se sentait un peu comme le légendaire Vicomte de Valmont, et Caleen serait sa Mme de Tourvel et sa plus belle récompense ! L’une de ses poupées gonflable ? Des milliers de femmes se seraient damnées pour avoir cette chance et elle s'en moquait. Néanmoins, il lui était urgent de trouver une bonne réplique, parce qu'il ne pouvait tolérer qu'une fille qu'il cherchait à séduire puisse l'envoyer sur les roses ainsi.

CAMERON- « Mais dis-moi, on s'est levée du pied gauche ce matin ? Et arrête
avec tes préjugés stupides. Qu'est-ce que tu crois, que je suis obnubilé par
lui-même et le nombre de ses conquêtes ? »

Cameron n'était qu'un de ces salauds coureurs de jupons et prêts à tout pour arriver à leurs fins. Oué nan, il était bien plus que ça ! Il correspond plus a un dandy ou a un libertin qu’a un jeune homme pur produit américain. Rien qu’a sa manière de parler des filles, on peut facilement comprendre qu’il est un séducteur, mais il manie si adroitement la rhétorique qu’il pourrait sûrement n’importe laquelle, même la plus vertueuse, d’abandonner ses principes moraux pour le suivre. Il est si ambitieux, parce qu’il a une telle confiance en lui qu’il sait qu’il réussira quoi qu’il arrivera. Il est véritablement fasciné par le pouvoir, et peut importe la nature de celle ci.

CALEEN - « Dis moi, Cam', est-ce que tu as déjà ressentie de l'amour envers une femme? Parce que je me posais justement la question.. »

Laisse moi rire maintenant elle voulait une diss' sur l'amour ! Mais qu'est qu'il gagnerais lui ? Il aurait put mentir, lui sortir les mêmes phrase, les "il était une fois" vous savez tous ces trucs nais qu'elle croyait ! Il est un bluffeur extraordinaire qui dit avec la même sincérité le mensonge et la vérité qu'elle n'aurait rien pu soupçonné.

L’amour. Cela ne veut rien dire. Ce n’est qu’un concentré de paroles mielleuses et de regards pseudo-romantiques. Mais ni l’amour ni le romantisme n’existent. Ce sont des inventions de l’homme pour justifier la nécessité de la paix, des sentiments que l’humain s’invente pour se détacher des animaux. Et c’est avec cela qu’il croit se différencier d’eux et s’élever plus haut que n’importe qui. Quand on aime, paraît-il, on est dans les nuages. On n’a jamais faim, on sourit, on est d’humeur joviale – du moins quand l’amour est réciproque. On se déifie presque. Mais ce sont que de stupides badineries d’enfants, peut-être les seuls vestiges de ce temps perdu. Rien n’élève l’homme plus haut qu’aucune autre espèce. Et ce qui nous différencie des animaux, c’est notre simple capacité de penser, rien de plus. Nous pensons, donc nous nous inventons des sentiments comme on se donnerait un but dans la vie. Et nous passons la nôtre à atteindre ce dessein stupide instauré par l’humanité. Nous marchons, au début, puis nous sautillons pour finalement courir vers ce but inatteignable. Nous essayons d’attraper l’amour en étirant son bras, alors que ce n’est que du vent. L’amour, en réalité, ce n’est que de l’orgueil. On aime parce qu’on est dépendant de cette extase suprême que l’on ressent amoureux. On aime parce qu’on est bien avec une personne. Et c’est pareil pour la mort. A-t-on jamais pleuré sur la tombe d’un défunt ? Mais en réalité, nous pleurions pour la vie peut-être sans gaieté que nous mènerions sans lui. Et Cameron, lui, suit son itinéraire et c’est par ambition qu’il transforme sa chambre en hébergement pour jolies filles le temps d’une nuit. Le temps nécessaire au plaisir sans craindre de rêver.

CAMERON - "Le prince charmant n’est qu’une invention, personne ne peut etre parfait car la nature humaine ne l’est pas, et pire, ne veut pas l’être."

L'amour sa rend faible L'amour. Cela veut rien dire. Ce n’est qu'un concentré de paroles mielleuses et de regards pseudo-romantiques. Mais elle ne voulait pas comprendre, elle était naïve et d'un romantisme débordant. Pathétique ! Elle était comme un enfant, rêvant d'avenir : un petit-ami, d'amour et même d'enfant. L'avenir. Qu'elle idiote de vouloir le présager incessamment, l'avenir arrive bien assez vite pour avoir à le rêver. Et quand elle comprendra qu'elle est pathétique de pense à cela, elle sera dans un état de solitude complet comme quand on éteint la lumière, et tout d'un coup, un voile noir et terrifiant énigme la pièce. A ce moment là, ce serait le voile de la vérité qui recouvrerait son esprit et détruirait son cœur. Et elle pourra enfin savoir alors qu'on n'est pas au pays des Bisounours. Ici, on est sur terre et les mecs comme Cameron, à part te baisser, ils veulent rien d'autre. Parce que de toute façon à part son corps, y a rien à soutirer.

CALEEN - « Bon, t'as pas un cours ? »


C'était toujours la même chose entre eux, les même discutions et cela se finissait toujours de la même façon : en dispute ! Il ne pourrait aimer, c'était impossible. Certaines personnes n'étaient absolument pas faites pour ce sentiment, et Cameron en faisait parti.

C'et faux air de Saint nitouche qui m'embrasse au coin de la bouche trop peu pour moi ! Vierge, c'est à se demander vraiment ! Et puis, quelle est cette tendance de sauvegarder comme un joyau ce petit bout de beau ? N’y a-t-il donc rien de plus important que de conserver cet hymen ? Il est même devenu possible de le recoudre ! Quelle ineptie ! La pureté ne vient pas d’un bout de peau, tout de même. Elle s’acquiert – d’ailleurs inutilement – par la beauté de l’être humain. Mais c’est encore une bêtise de penser qu’elle existe. Chaque humain a sa part de noirceur qu’il cache par sa bonté hypocrite. Il détourna le visage pour que son baiser atterrisse sur sa joue, juste un mouvement fluide, rapide pour montrer qu'il commençait vraiment à avoir un manque d'intérêt pour sa petite personne ! Juste histoire qu'elle comprenne.

CAMERON - « Fais attention, à force de reculer, tu pourrais bien finir par ne plus m'avoir. »

[Je ferais la mise en page demain là je suis ... j'ai la flemme xD]