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 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']

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Cameron L. Scott

Cameron L. Scott


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MessageSujet: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptySam 19 Sep - 22:28

La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] Vodca La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 7801689
« Il y a des jours avec, d'autres sans. »



LOU - « Je t'aime Cam' »
CAMERON -« Combien de fois je t'ai dis de ne pas m'appeller comme ça ? »
LOU - « Je t'aime CAMERON. »
CAMERON - « On se voit ce soir, même heure ? »
LOU - « Biensûr. A toute à l'heure mon amour.»



___Qu'est ce qu'il ne fallait pas accepter juste pour obtenir les faveurs d'une demoiselle si belle soit elle. Cameron ne supportait guère les petits surnoms ou les abréviations de son prénom. Non, il n'était pas un garçon à se faire ridiculiser de la sorte, même sa mère ne s'y risquait pas alors qu'une petite peste sans importance le face le répugnait. Et puis, ce qui l'ennuyait plus encore c'était ce mot, inutile et futile. Je t'aime. Ce débordement de sentiment était bien loin de plaire à Cameron. Il allait être temps de se débarasser de cette fille. Mais comme il avait pour projet de passer la soirée en compagnie cette Serdaigle, plus qu'attirante, ça attendrait encore un peu. Il n'allait pas tout foutre en l'air pour un mot mal placé. Quoi que... Il aurait pu. A coire que la Vodka avait l'effet de le rendre plus docile et moins hargneux. Après le six verres, Monsieur Cameron s'était arrêté de compté. Adosé contre à un mur, il observait son amie lui tourner le dos pour se dirriger vers l'étage inférieur, le jeune homme ne bougea pas. Pas qu'il soit saoule au point de ne pas s'avoir retrouver sa chambre, non, Cameron était juste en train d'allumer sa première cigarette de la journée. Ca aussi, il avait arrêté de les compter, de même pour ses conquêtes. Quand il porta son poison à la bouche, la jeune fille disparue dans l'enceinte de l'école. Ah les femmes... Ils ne pouvaient s'en passer mais en même temps ne supportait pas de les avoir trop longtemps dans les jambes. Une relation d'amour et de haine. C'était comme un chien, elles auraient du savoir obéir et partir quand il le fallait. Dommage que ce soit de moins en moins le cas. Rejetant la fumée de sa cigarette, Cameron soupira. La nuit avait été longue et il commençait doucement à fatiguer.

___En effet, Cameron et un bons nombres de d'élèves avaient fait la fête toute la nuit.. Puis, le soir venu, chacun avait rammené boisons, nourriture, musique. Cameron, lui était arrivé plus tard, en compagnie de Lou, sa partenaire du moment. Ils avaient bu, fumé et dansé toute la nuit... Une soirée décadante propice aux confidances d'après les avoeux de la demoiselle. Cameron se passa la main dans ses cheveux. Il était bien arrangé, une fois de plus. Sa chemise déboutonnée, sa cravate et sa veste dans une autre main, il avait l'air étrangement vétu pour un début de matinée. Son visage était creusé et ses yeux rouges lui donnaient un air encore plus impressionnant et diabolique que d'habitude. Il faisait presque peur. Mais étrangement, cet aspect le rendait terriblement attirant, inaccessible et destabilisant. Cameron Lucas Scott, quoi qu'on puisse en dire et même dans une situation peu avantageuse, restait un beau jeune homme. Une beauté froide, envoutante, différente. Cet homme n'avait rien de commun aux autres.

___Son choix était fait depuis un moment déjà, il avait l'intention de sécher les cours de la journée. Rien de très intéressant en somme. Jasper se fichait des sanctions et puis, sécher, il l'avait fait tellement de fois. Et avec un peu de charme sur ses professeurs adorés l'histoire serait vite oubliée. D'ailleurs, il était encore trop tôt pour que les premiers cours de la journée aient commencé, il aurait donc tranquillement le temps de retourner jusqu'à son dortoir. Il irait peut-être faire un tour dans les rues de Pargue ou il irait au Cinéma ... Les possibilités étaient diverses et le simple fait d'être libre comme l'air pendant que ces chers camarades de classe étaient en cours, lui procurrait un plaisir absolu.

___Réfléchissant aux divers endroits ou il pourait se promener, le garçon décida qu'il était tant de rejoindre sa salle commune. L'heure avançait rapidement et il commençait à entrendre, au loin, des bruit de pas... Cameron termina sa cigarette et la jeta au loin. Il reboutonna grossièrement sa chemise et remit sa cravate du mieux qu'il pu considérant l'état dans lequel il se trouvait. Il tenta vaguement de se recoiffer et d'un geste nonchalant plaça sa veste sur son épaule. Le parc était désert et encore sombre, le soleil était caché par de nombreux nuage. Cameron se redressa, fixa un point droit devant lui, il vacilla et failli se retrouver au sol. Aussi rapide que l'éclair, il avait évité cette chute de justesse en se rattrappant au mur. Il fut soudain prit d'un léger fou rire. Quel con ! C'est alors qu'il entendit des talons claquer le sol en train de se rapprocher de son couloir. Mon Dieu, le loup garou allait faire peur au petit chaperon rouge. Désorienté fit attention à ne pas faire de mouvements brusques cette fois-ci et reprit la marche vers l'endrois ou arrivait les pas de l'inconnu(e). Les pas se firent de plus en plus proche à ses oreilles et la rencontre devenait immnente.
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Christinna Shepperd
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyDim 20 Sep - 10:09



La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 2zp8uo6 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 090517011033539893674096

• Lorsqu'un mec, même soul à un charme à faire tomber les plus frigide
C'est qu'il est ma proie idéal, quand il sera sobre du moins !




    Pathétique. C'était le mot qui résumait le plus la vit de Christinna à ce moment même. Femme sublime, adulée, jalousé, respecté, haït et surtout connu de tous, elle était assise à au bar, dans un robe rouge sang qui lui allait à ravir. Elle était irrésistible, et tellement seul. Elle regardait le regard vague son verre de Tequila. C'était toujours la même rengaine, presque tous les soirs elle sortait, trouvait un partenaire pour la nuit et s'en retournait dans son lit dans les environs de cinq heure du matin. Tout ça ne pouvait plus durée, elle était fatigué de courir toute la nuit, de ne pas dormir, de se droguer au café la journée et de carburé à l'alcool la nuit. Elle n'était déjà plus qu'une épave remarquablement bien conserver et sur laquelle le maquillage faisait des merveilles. Mais elle n'était pas qu'un masque, elle n'en pouvait plus de sa solitude, et pourtant elle n'y pouvait strictement rien. Ce soir là, elle n'avait plus envie de rien, normalement elle buvait raisonnablement, n'avait jamais de gueule de bois le lendemain, faisait toujours de l'exercice dans la nuit. Mais là, lorsqu'elle observait les hommes qui se trouvait là, elle avait sans doute encore plus envie de boire. Il y en avait eu un pas trop mal qui lui avait offert quelques verres, elle avait fricoté avec lui quelques temps, pendant qu'elle buvait les verres offert et puis l'avait envoyer bouler en douceur, ce n'était qu'un pigeon, bien mignon mais pas fougueux pour deux sous, et qui ne la satisferait pas. Il était une heure et demi, deux heures lorsqu'elle était rentrée dans sa chambre, vide, Alana et Libbie devait surement être en train de s'amuser. Et elle ? Elle était complètement bourré, et ce soir elle avait l'alcool triste, et elle ne supportait pas ça, alors elle était rentrée en titubant, frôlant les murs pour ne pas être aperçu. Christinna n'était pas cette épave qui titubait dans les rues noirs de Prague au milieu de la nuit. Enfin pour tout le monde elle ne l'était pas. La vérité était bien moins reluisante mais qui s'en préoccupait ? Elle c'était endormis net, en sous-vêtement n'ayant eu du courage que pour retirer sa robe.

    Elle avait eu un sommeil lourd et agité, le genre de sommeil douloureux qui vous reste en tête au réveil. Et quel réveil ! Elle avait sentit le plafond s'écrouler sur sa tête en se levant, le fracas causer par sa lampe de chevet qu'elle avait fait tomber par maladresse retentit en elle comme une bombe atomique. La nuit d'hier n'était plus qu'un grand trou noir de temps en temps traverser par des flashs de décadence. Elle était maintenant pitoyable. Ses colocataires réveiller par son bruit, la regardait triste, surtout Alana sa cousine qui ne voyait pas comment l'aider, voyant bien qu'elle n'allait pas bien. Christinna s'enfonça sous sa douche, histoire de se rafraichir. La case maquillage fut bien plus que nécessaire, elle avait réussit à cacher presque toutes les traces de sa soirée d'hier. Elle s'habilla en Jean, un slim gris électrique rentrée dans des bottes à talon. En haut, une blouse blanche à volant, légèrement transparente qui laissait entrevoir son soutient-gorge noir. On ne soupçonnerait sans doute rien, et c'était l'essentiel. En sortant de la salle de bain, Alana l'attendait avec un termos de café. Christinna le saisit en lui offrant un sourire, et avala en quelques minutes trois tasses de café bien chaude, qui commencerait à la remettre d'aplomb.

    Elle attrapa des lunettes de soleil, ça veste noir, et sortit de la chambre pour aller se balader dans le parc. Elle avait besoin d'air frai pour se remettre d'aplomb, alors une petite balade ne lui ferait pas de mal. Le parc était désert, sans doute il était trop tôt pour voir quelques personnes, elle s'en fichait pas mal, elle n'avait même pas pensé à regarder l'heure en partant. Elle marchait doucement pour ne pas éveiller son mal de tête, les lunettes protégeant ses yeux de la trop forte luminosité. Soudain elle vit arrivé face à elle, un homme, ne marchant pas tout à fait droit, qui s'avançait vers elle, et qui avait une silhouette qu'elle connaissait.

    Cependant lorsque le jeune homme arriva à sa hauteur, l'alcool lui donna un vertige qui le força à s'accrocher à Christinna, qui ne s'attendant pas à ça, et n'étant pas tant que ça dans son assiète perdit l'équilibre, et les deux furent entrainer par terre, Christinna se retrouvant sur le jeune homme. Elle retira ses lunettes de soleil histoire de bien voir qui c'était, ferma un instant les yeux à cause de la lumière qui lui faisait bien trop mal, et paru plus que surprise en voyant Cameron allongé par terre, sous elle...

    « Cameron ? Tu es complètement bourré ma parole...»

    Elle fit une grimace, en général elle aimait bien Cameron, il était séduisant, et même plus que ça, tout à fait son genre, passionné, et suffisamment fou pour pouvoir s'amuser avec la brunette et pour changé son quotidien. Mais Christinna n'aimait pas trop les gens souls, ils faisaient souvent n'importe quoi, et était tout sauf classe. Elle se retira de Cameron pour s'assoir à coté de lui, avant de remettre ses lunettes de soleil. Aller savoir pourquoi, maintenant qu'elle était par terre, ça gueule de bois l'incitait à rester par terre.
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Cameron L. Scott

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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyDim 20 Sep - 13:25

La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 2458 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 2w4ck0o
« Le hasard fait bien les choses - ou pas »




___Mieux vallait-il mourir debout que de vivre à genoux... Dire et penser ce que l'on voulait, avoir une influence, ne jamais regretter, suivre ses propres reglès, vivre pour soi-même et non pour les autres, profiter de chaque instant, réaliser ses ambitions. Voilà la douce philosophie de Monsieur. Il fallait que les minables défenseurs de la bonté humaine arrêtent de se voiler la face. Vivre c'était écrasser les autres, prendre plus de place qu'eux pour exister. Vivre, c'était survivre - survivre c'était combattre - combattre c'était gagner - gagner c'était perdre. Dans chaque histoire, chaque joute verbale, chaque émotion, chaque moment, il y avait toujours un perdant. Il fallait juste se battre pour ne pas endosser ce rôle inacceptable. La mort. La vie. Qu'elle différence après tout ? La vie était faite pour se terminer et la mort pour perdurer à jamais. La vie & la mort étaient étroitement liées et cela pour toujours. Telles des soeurs ennemies, elles se complétaient autant qu'elles pouvaient se détester. Cameron aurait aimé inverser le cours des choses. Faire de la vie une mort et de la mort une vie. Etre plus fort que la mort, combattre le temps... Tout être humain croit un jour en une force suprême, un dieu, une divinité capable de le sauver de la mort, une entité supérieure aux pouvoirs démentiels et inimaginables. L'homme est ainsi fait qu'il lui faut croire en un être qui lui est supérieur. C'était surement pour ça qu'il aimait tant la fête. Oublier qu'il n'étais qu'un simple motel dans le monde des mortel. Presque torturé, incompris, destructeur, l'alcool l'aidait à s'éclaircir l'âme, la cigarette à le détendre et les joins à le faire s'envoler. Incohérence pour ce jeune homme qui ne supportait pas l'idée de dépendre des quelqu'un ou quelque chose. Drôle de personnage penserez-vous. Mais tellement fascinant en même temps, qu'il ne pouvait qu'intriguer...

___Le son des talons de la personne qui s'approchait de son couloir lui donnait une affreuse migraine. Il était étonnant de voir que Cameron n'était jamais totalement ailleurs, même après une folle nuit, monsieur ne perdait jamais de vu ce qu'il était et ce qu'il voulait devenir. Ce bruit martelant le sol lui faisait maintenant de plus en plus mal, il avait l'impression qu'on était en train de lui frapper le crâne avec une batte. Avançant droit devant lui, il se frotta les yeux d'une main. Le bruit se stoppa, deux corps qui tombe, une voix s'éleva. Sa proie préférée était de retour.

CHRISTINNA - « Cameron ? Tu es complètement bourré ma parole...»

___Aussi décontracté que Christinna pouvait-être tendue, un sourire narquois prit place sur la bouche du jeune homme. Rien que la tête de la demoiselle quand elle l'avait apperçu était des plus hilarantes et même Dylan ne pouvait le contredire la dessus. Complètement ivre, Cameron se rendit compte qu'il devait lui fait peur. Défoncé, il éclata d'un rire sans joie. D'un rire à la fois enchanteur et terrifiant, foudroyant presque.


CAMERON - « Alors ma Chris'... »

___Il changea. Son sourire disparru, son regard se fit plus dur et ses trais reprirent de leur légendaire mystère. On aurait pu penser que son ivresse le poussait à la confrontation.

CAMERON- « Mais où sont passées tes bonnes manières... Tu ne m'embrasses plus ? »

[Jamais fais de post aussi merdique Rolling Eyes ]
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Christinna Shepperd
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyDim 20 Sep - 19:10



La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 2w4ck0o La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] Img-2145355in8w

• Tu ne le sais pas encore, mais tu es à ma merci
Je ferais de toi ce que je voudrais, je serais à la fois tes plus beaux rêves et tes pires cauchemar !




    Christinna n'avait peur de rien. Rien ? En tout ça c'est ce qu'elle faisait croire à merveille, femme mystérieuse, impénétrable, incompréhensible, froide, rien ne semblait l'atteindre. Pour une fois les apparences n'était pas si loin de la réalité, la brunette n'avait peur de rien, ou presque. La seule chose dont elle avait peur était son pire cauchemar, avec lequel elle vivait depuis 24 ans. Cette peur, son cauchemar, sa vie, n'était que la solitude, et donc la peur d'être abandonné. Elle se fichait bien de mourir, il y aurait sans doute que peu de chose qu'elle regretterait dans ce monde, et serait sans doute heureuse d'être libéré de cet enfer, dans lequel elle ne vivait que par l'excès. Mais voir mourir autours d'elle le peu de personne qui lui était cher, ça elle ne le concevait pas, ou même simplement voir partir, elle ne pouvait pas l'accepter. C'était sans doute pour ça qu'elle pouvait être si protectrice lorsqu'elle le voulait, lorsqu'elle voyait de l'intérêt à protéger une personne.

    Elle chassa ses pensées presque morbide de sa tête, pourquoi donc lorsqu'elle avait la gueule de bois fallait-il qu'elle se mette à penser au pire truc qui puisse exister au monde ? Pourquoi était-elle de nature si pessimiste ? Ne pouvait-elle pas profiter de la vie, s'amuser, et ne réfléchir à rien ? Non sans doute pas, elle n'était pas faite pour profiter de la vie, elle n'était simplement pas faite pour ça. Elle était plongée dans ses pensées lorsqu'un homme qu'elle avait vu arrivé d'assez loin la fit tombé par terre, l'attirant contre lui, elle fut surprise de constaté que cette homme était Cameron. Un ami. Enfin disons une relation améliorer... Normalement la belle se contentait de relation d'un soir, mais quelque chose lui avait plus dans le jeune homme, et elle appréciait sa compagnie, aimait jouer avec lui, des jeux stupide, risquer parfois, du moment qu'ils s'amusaient, qu'ils étaient en vie, rien n'avait d'importance. Avec lui, elle avait l'impression de profiter, elle avait presque l'impression d'être heureuse, elle avait la présence humaine qu'elle avait toujours chercher, et l'amusement. Elle aimait aussi l'ascendant physique qu'elle avait sur le jeune homme, bien qu'elle ne le reconnaîtrait sans doute jamais, le jeune homme avait sans aucun doute le même ascendant sur elle, mais elle était bien trop fière pour l'avouer, et faisait tout pour que ces gestes ne trahisse pas ses pensées...

    Le "ma Chris" tira à la brunette un sourire crispé. Qu'on l'appelle Chris ne la dérangeait absolument, non, c'était simplement le "ma" qui la dérangeait. Elle n'appartenait à personne, si elle désirait appartenir à quelqu'un, elle se rangerait avec un homme et pourquoi pas l'épouserait, mais elle n'en avait aucune envie, et préférait rester libre, tellement libre qu'elle ne faisait même pas dans la relation exclusive. Elle ne put s'empêcher de penser que les hommes souls était définitivement pas classe, et pourtant malgré l'honnêteté que ça provoquait chez lui, il n'en restait pas moins extrêmement séduisant, si bien qu'elle décida de jouer un peu. Son désir de jouer fut encore plus accru par la seconde phrase de Cameron. Elle qui s'était dégagé de Cameron pour s'assoir à coté, se remis à califourchon sur le jeune homme qui s'était à peine relever. D'un mouvement assez lent et très sensuel elle s'approcha de lui, déposant un baiser dans le coup de Cameron, elle se rapprocha de son oreille avant de lui chuchoter :

    «Je me retiens mon ange... Tu n'imagine même pas à quel point c'est dur de te résister... Je pourrais te violer sur place si... tu n'étais pas soul ! »

    La fin de la phrase avait claquer, elle avait laissé son ton aguicheur et sensuel pour parler d'un ton presque cassant. Elle savait que le surnom le ferait surement crisser, du moins elle l'espérait. Elle s'appuya sur son torse pour se relever, et tandis la main vers lui.

    «Attrape l'éponge, tu ne comptes pas rester allongé là toute la sainte journée, si ? »

    Si le ton était encore sévère, son visage ne l'était pas, il était d'une douceur assez rare, et on pouvait même y apercevoir un sourire qu'on pouvait facilement penser de sincère. Elle semblait complètement paradoxal, et ça la rendait encore plus désirable. Comme si l'avoir permettrait de la comprendre.
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Cameron L. Scott

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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyDim 27 Sep - 18:43

La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] Sophia14 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] Josh-H-3-josh-hartnett-7486848-100-100
« Quand tu te tais, tu es plus jolie, tu sais ? »



___Avec ses soirées de défonces de plus en plus présentes dans son existance, Cameron perdait souvent le fils... Cette nuit il avait d'abord commencé par se rendre à une soirée organisée par un élève de l’école, une mise en bouche. Il avait fumé quelques joins avec des potes puis en quittant ce lieu de rendez-vous il était tombée sur une demoiselle au doux prénom de Lou, saoule également. Tous deux avaient donc terminé la nuit ensemble à une autre fête, dans la salle de bain, soirée mousse. Un carnage. Il lui avait fait l'amour dans une pièce à l'écart pour ensuite rejoindre les autres dans les bains mousseux, la musique à fond et le champagne à volonté. Elle était belle la jeunesse. Il était fou, il était le roi... Le roi des cons. Mais il n'avait que cette échappatoire... Que cette décadence pour se changer les idées et quoi de mieux pour commencer l'année qu'une fin de soirée joliment arrosée en compagnie d'une belle demoiselle ? Cameron n'avait donc pas fermé l'œil de la nuit et cela se ressentait maintenant, son esprit avait du mal à tenir le choc et ses jambes à marcher droit. Il divaguait dans les couloirs et malheureusement Christinna était tombé sur lui. La pauvre... Quand à Lou, il l'a quitterait surement dans la semaine qui suivrait, elle baisait mal. Dommage, pourtant elle était à son goût. Et malgré son apparence négligée d'une nuit souillée, malgré son ivresse et sa fatigue... Malgré ses conneries et ses attitudes de je m’en foutissme, Cameron restaient toujours aussi attirant... Une sorte de méchant pour lequel on ne peut rester indifférent. Fascinant, il avait tout pour être détestable mais pourtant, il dégage ce charme fou, vangeresque. Personne ne voudrait tomber dans son jeu mais au final, on ne pouvait faire autrement que d'émettre un avis sur ce mystérieux jeune homme. Et c'est ce qu'il désirait le plus, se faire connaitre, attirer, répulser, être source d'angoisse et d'envie. S'il y en avait un qui pourrait lever les foules, amener la rébellion et bouleverser le monde, ce serait lui... Ailleurs & atypique. Cameron voulait penser qu’il avait un grand avenir devant lui. Rien n’avait d’importance, ni sa vie ni les sentiments. Caleen, le répugner par son sentimentalisme écœurant. Avec elle, il n’avait qu’un but dans sa vie, tenter de lui enlever son romantisme exorbitant et lui faire découvrit la passion du sexe.

__Christina … Une des seules qui pouvait laisser Cameron particulièrement perplexe. Ce n'était pas seulement sa beauté, son charisme. Ce n'était pas non plus sa personnalité si complexe sur laquelle bon nombre s'était cassé les dents. Il y avait plus... Il émanait d'elle une aura indescriptible qui touchait absolument tout ce qui l'entourait, le sublimant ou le souillant avec une froide indifférence. Elle était une énigme. Et face à elle, Cameron se retrouvait comme un papillon hypnotisé par la flamme, incapable de se soustraire à sa présence, prêt à se brûler les ailes. Il était tout simplement inconscient, aucune limite pour la mettre dans son lit. elle se croyait indispensable, unique. Pour Cameron, des filles dans son genre, il y en avait à la pelle,
des demoiselles aux allures intrigantes et à la séduction facile. Cependant, lorsque l'on cherchait à creuser un peu derrière cette façade, il n'y avait plus rien d'intéressant, plus rien. Même pas de mystère subtil, de joie incontrôlée, de folie excitantes, de faux sous-entendus. Elle n'était qu'une beauté de journal, une fille plaquée sur les idées des autres, banale et tellement ennuyante, incapable de réfléchir à qui elle est vraiment au fond... Ordinaire, inintéressante lors de discussions poussées, bien trop jeune pour comprendre la vie… Alors, il est vrai qu'elles étaient la cible favorite de Cameron. Bonnes à baiser, idiotes, ne posant pas de questions... Et pourtant, Christinna avait quelques choses de plus, elle l’intriguait, il voulait savoir qu’est qu’il avait de plus derrière cette façade de reine des glaces. Ainsi, pour elle, il aurait put se brûler les ailes.

__Non, en fait Cameron même s'il semblait encore plus bourré et chaviré que d'habitude, il ne l'était pas vraiment et avait toute sa tête. Même ivre, jamais Cameron Lucas Scott ne se livrait, ne montrait vraiment qui il était et ça c'était une force. Pas comme d'autres qui après cinq verres se confiaient et balançaient toutes leur vie sur un plateau. Cameron n'avait pas de limites, c'était indéniable où alors très peu. Ils les franchissaient toutes, par plaisir, besoin du danger, de l'évasion ... Mais aucune substance ne pourrait le forcer à se livrer, ça avait toujours été clair, dès les premiers joins. Et, il le savait que c’est cela qu’elle appréciait chez lui, aucune limite, il aimait le risque, il était en vie.

__Une autre personne aurait pu semblé pitoyable, allongé sur l’herbe, bourré et habiller grossièrement. Mais pas lui. Il aperçu son sourire. Un semblant de sourire lorsqu’il l’a surnomma « ma » Chris’. Ils se ressemblait tant, la même répugnance pour les surnoms. Non, ils n’appartenait à personne et jamais ils n’appartenons à quelqu’un ! Tout comme lui, elle voulait qu’il soit à sa merci mais c’est loin de connaitre Cameron. Et très vite, elle commença à jouer avec lui. A peine c’était telle assise à coté de lui qu’elle se retrouva en califourchon sur ce dernier.

CAMERON - « Joli vue… »

__Jetant un œil au décolleté de la jeune femme, faisant pertinemment exprès de la provoquer. Il posa sa main sur la cuisse de Christinna et il su d'avance qu'il la décontenançait alors que sa main glissait doucement jusqu'à ses fesses avant que celle-ci s'approche de lui, d'une façon assez proche limite, il s’attendait à se retrouver nu d’une seconde à l’autre … mais non, il n’a eu le droit qu’à un baiser sur le cou.

CHRISTINNA - « Je me retiens mon ange... »

__Il sourit. Faux sourire, imitation mais sourire quand même. Mon ange … Elle le connaissait, il ne supporter pas les surnoms. La vie devrait être un bal masqué où l'objectif serait de faire tomber son masque le dernier. Et se révéler avant la fin du bal, pourrait tellement avantager les autres. Mais pas besoin de pénétrer l'esprit de Christinna, pour connaitre le fond de sa pensé, si elle lui avait appelé mon… ange.

CHRISTINNA - « Tu n'imagine même pas à quel point c'est dur de te résister... Je pourrais te violer sur place si... Tu n'étais pas soul »

__Il lui adressa simplement un sourire taquin, intéressé par la suite. Et Clap! Ce n'étaient certainement pas ce qu'il attendait de sa part. Il hocha négativement la tête, et se mordit la lèvre inférieure, faussement froissé et déçu. Mais alors qu'elle prétendait ne pas en avoir envie car il était soul, il lui adressa un regard qui en disait long. Oh oui, il voulait parier. Et Cameron était fort sur les paris. Ils finiraient la nuit ensemble, sinon il ne s'appelait pas Cameron Scott.

CHRISTINNA - « Attrape l'éponge, tu ne comptes pas rester allongé là toute la sainte journée, si ? »

__Jeu de main - jeux de vilain ? L'inventeur de ce dicton ne croyait pas si bien dire ... ! En effet, il attrapa sa main mais pour mieux l’attirer contre lui. Il ne la lâcha pas d'un seul pouce et bien au contraire fit de son mieux pour ne pas rompre ce contact physique qui venait de s'établir. Cette fois-çi, ce fut Cameron qui était en califourchon sur la belle brune. Elle était pris au piège sur son propre jeu. Si elle voulait jouer, elle allait jouer !

CAMERON -« Je te laisse même pas une heure avant que tu me supplies de te faire comme la dernière fois, princesse... »


[Excuses moi pour mon retard - impardonnable]
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Christinna Shepperd
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyLun 28 Sep - 19:03



La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] Josh-H-3-josh-hartnett-7486848-100-100 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 158229sophia1

• Les hommes sont à la fois ma force et ma faiblesse.
Tu es l'une de mes faiblesses, mais ça tu ne le sauras pas !




+ + + Christinna ne prêtait aucune espèce d'attention aux hommes. Elle était le chasseur, ils étaient le gibier. Mais peut-on dire que le chasseur accorde beaucoup de son attention à son gibier ? Non seulement suffisamment pour pourvoir le repéré et l'avoir, après s'en était fait, il n'avait même pas le bénéfice d'avoir un regard. La réputation de croqueuse d'homme de Christinna n'était plus à faire et n'était pas fondé sur des broutilles mais plutôt sur des années d'expériences. Elle ne comptait plus désormais les soirées passer dehors à la recherche d'un compagnon pour la nuit, elle ne comptait plus les soirées passer dans les bars au coté de l'alcool et accompagné d'un homme. Les hommes étaient chez elle comme un sac pour une fashionnata, et pour tout dire, la jeune femme avait aussi la réputation d'être superficielle, et donc de changer de sac comme de petite culotte. Mais c'était cette apparence vide, superficielle qui apportait toute la complexité et l'intérêt du personnage. Beaucoup de femme veulent se montrer mystérieuse, complexe, et passe des heures à peaufiner leur apparence pour avoir l'air irréprochablement intéressante. Mais un homme qui s'attarde sur cet apparence ne tardera pas à s'apercevoir que vous n'êtes qu'un puits dans une oasis, une illusion et qu'au fond vous n'êtes rien. Au contraire de ces femmes inintéressante, Christinna donnait une apparence superficielle, de la fille qui n'a rien dans le crâne, qui connait son pouvoir de séduction, qui en joue, qui est froide et ne laisse personne l'approcher de peur qu'on découvre le trou profond de sa personnalité. C'était l'apparence qu'elle donnait d'elle, mais cette apparence elle l'a laissé ce craqueler pour laisser imperceptiblement entrevoir une partie beaucoup plus sombre, une partie mystérieuse qui faisait tout son attrait et fascinait tant de monde.

+ + + Mais Cameron n'était pas n'importe quel mec.S'il l'avait été, elle serait passer sur lui avant de ne plus jamais le regarder, et ne se serait pas arrêté. Il aurait pu vouloir la retenir, comme beaucoup on déjà essayer de le faire, et elle l'aurait briser, purement et simplement comme elle aimait le faire. Mais Cameron n'était pas tout le monde. Il était beau, mais ça elle en avait vu d'autre. Il n'avait pas peur d'elle, il ne la prenait pas de bas, il ne la prenait pas de haut, il semblait juste avoir conscience de sa valeur et vouloir l'exploiter à fond pour pouvoir la découvrir tout entière. Mine de rien il savait la flatter, il savait la retenir, il savait ce qui pouvait la faire jouir, et cette qualité n'était pas négligeable. Avec lui elle était sur de ne pas s'ennuyer, qu'il trouverait une idée suffisamment farfelu, et nouvelle pour qu'elle ne l'ai jamais tenté. Il n'était pas niais, ne se montrait pas accro, et instaurait la juste distance dont la belle avait besoin. Ils n'étaient pas un couple, la belle ne s'abaisserait jamais à sortir avec un mec, ils étaient "amis" et se retrouvaient quand bon leur semblaient, pour une après midi, ou quelques temps souvent clôturé pour une partie de jambe en l'air. Rien de formel, rien d'officiel, juste du jeu, du plaisir, du désir. Malgré la simplicité de leur relation, elle se savait attaché à lui, elle connaissait l'ascendant qu'il pouvait avoir sur elle, celui là même qu'elle essayait de dominer, car aucun homme ne devait avoir un quelconque ascendant sur elle. Heureusement elle sentait la balance équilibrer ce qui lui permettait de ne pas s'inquiéter et de continuer à vivre en pleine insouciance cette relation. Elle se savait capable de tout balancer, tout stopper, tout détruire si elle sentait la flamme s'approcher trop près de ses ailes. Elle pourrait lui faire mal si elle voulait, l'écrabouiller, et se bruler en même temps.

+ + + Pour le moment elle se contentait de jeu, de jeu ou ils se taquinaient, se mettaient parfois des bâtons dans les roues, comme dans l'entreprise de Cameron avec Caleen.Mais ce n'était rien de méchant, que des petits jeux insouciant et qui ne faisait du mal à personne, si ce n'est peut être à l'égo, mais tout le monde sait à quel point l'égo des séducteurs se remet vite d'une petite griffure. Pour le moment elle estimait qu'elle ne courait aucun risque, la flamme était encore loin, et elle pouvait jouer avec sans peur, à la première brulure elle aviserait, mais pour le moment elle appréciait les risques, et en profitait.

+ + + Elle ne pouvait pas s'empêcher de sourire, un sourire sincère, pensif. Il était charmant allongé soul dans l'herbe, les yeux brillant et par l'alcool et par la malice. Son cerveau plus que vif pour quelqu'un qui avait trop bu, et ses instincts animales décupler par rapport à la normal. Il paraissait simplement sauvage, et mine de rien Christinna adorait ça, le seul hic pouvait être l'odeur de l'alcool, mais avec les années, et les litres d'alcool ingurgiter elle s'y était fait. Le « Joli vue… » qu'il lança à son attention provoqua chez Christinna un regard vers le ciel. Finalement peut importe la quantité d'alcool avaler il était toujours pareil à lui même, dragueur, et pas forcément très fin. Vous trouverez sans doute étonnant que ce genre de technique marche encore avec les filles, mais Christinna détestait bien les mecs trop pudique pour oser dire clairement ce qu'il désirait et pensait, après tout ce n'est pas comme si elle était facilement choquable. Non s'il prenait des moyen détourner c'est juste qu'il avait peur d'un refus, mais c'était justement l'assurance de Cameron à dire les choses parfois crument qui faisait qu'on était souvent bien incapable de lui dire non.

+ + + Si Christinna était assez fière de sa surprise et avait bien su lire la surprise dans les yeux de son partenaire, elle se s'attendit pas à ce qu'il soit si lourd lorsqu'il saisit sa main. Ou plutôt elle ne s'attendit pas à ce qu'il tire violemment histoire de la ramener sur lui. Fallait-il rappeler qu'il était au milieu du parc, et que même si celui-ci était encore vide, il finirait bien par se remplir ? Il faudrait surement leur rappeler, quoiqu'ils s'en fichaient pas mal, et n'avait que faire de ce que pense les autres, ils étaient presque né pour choquer. Cameron ne tarda pas à changer la balance de coté et à se mettre à califourchon sur la brune. Au moins maintenant il était sur qu'elle ne lui échapperait pas. La phrase de Cameron tira un rire à Christinna tout en lui rappelant une vague de souvenir. Vous a-t-elle déjà dit que Cameron savait admirablement bien s'y prendre et qu'il était dur de lui résister ? Mais bon, elle aussi avait ce "pouvoir", et elle avait une détermination à tout épreuve.

« Donne moi encore un surnom, et je te promet que je saurais me maîtriser jusqu'à la fin de mes jours... »


+ + + Elle sourit, les surnoms n'était définitivement pas quelque chose qu'elle appréciait, et le seul qu'elle aimait était Chris qu'elle qualifiait de diminutif et non de surnom.

« Tu sais que tu n'aurais pas du prononcer le mot supplier, car même si je craque avant une heure, jamais je ne te supplierais, et il suffirait que je ne fasse qu'un geste pour obtenir tout ce que je veux de toi. Et si je veux quelque chose ça ne sera pas comme la dernière fois, ça sera mieux... »

+ + + Bah quoi, les hommes il faut que ça soit comme l'argent, soit on le dépense, ou alors si on le place en bourse il faut qu'il fluctue, sinon il n'a pas grand intérêt. Heureusement que sur se plan là Cameron n'avait rien à envier à personne, tout comme la belle brune bien évidement. Elle saisit Cameron au col pour l'amener vers elle et approcher son visage du sien, suffisamment proche pour que leur deux nez se touche, que leur lèvres se frôle avant de se décaler et d'aller lui murmurer à l'oreille.

« Je dois t'avouer que je n'attend qu'une chose... Voir comment tu vas t'y prendre pour me faire craquer et réussir là ou bien d'autre se son casser les dents... Je suis résistante mon ange... Et pour toi je ne cèderais... pas. »

+ + + En disant ces derniers mots elle avait passer une main le tee-shirt du jeune homme et faisait délicatement glisser sa main douce tout le long de son torse le faisant frissonner.
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Cameron L. Scott

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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyLun 5 Oct - 19:52

La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] Iconsophiabushbl2 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 2exu0qh
« On verra la vie en rose »


__A l'instant même où Cameron avait vu Christinna, il sut qu'une fois encore, leur petite dispute perpétuelle se solderait par un aller-retour dans son lit, ou dans celui de la jeune femme, au choix. Christinna et lui, lui entretenaient une relation complexe. A chacune de leur rencontre, ils ne pouvaient ce disputer soit avec des surnoms (comme on a put le constater chacun déteste cela) ou par des réflexions. Et pourtant à la fin de leur rencontre cela ce terminer toujours de la même façon : au lit ! Mais il devait reconnaître, bien qu'il ait quelques difficultés à la supporter (à chaque début de leur rencontre), qu'elle possédait de nombreux atouts. Physiquement, c'était une jolie brune aux yeux clair, au sourire enjôleur (même s'il ne lui était jamais destiné), au regard troublant & à la moue attendrissante. Bien proportionnée, la jeune femme avait des formes là où il fallait, ce qui complétait ce profil plutôt avantageux. Mais Cameron adorait par dessus tout le caractère de la jeune femme, bien qu'il s'en défende. Elle était dynamique, une vraie pile électrique. Elle savait ce rendre mystérieuse, une personnalité complexe. C'était une femme fougueuse, déterminée, qui se donnait les moyens de réussir ce qu'elle entreprenait. Du moins était-ce ainsi que le jeune homme l'imaginait. Et ce qu'il préférait, c'était de voir le combat qu'elle menait intérieurement, à chacune de leur rencontre. Il savait très bien qu'elle était partagée entre l'énervement et le désir, et ce dernier l'emportait tout le temps. Ah les femmes... toutes les mêmes ! Il adorait la voir lutter, remettre en doute ses convictions, et surtout, il adorait la voir céder, & l'embrasser fougueusement. Il était assez intéressant de constater que plus ils se détestaient, & plus ils finissaient dans le même lit. Au moins, la jeune femme pouvait-elle se vanter d'être la seule conquête fixe de Cameron. Lui qui est si souvent qualifié comme homme à femme. Elle l'intriguait énormément. Il aurait pu se lasser & l'envoyer sur les roses, mais il était fou de ce petit jeu de séduction, ce jeu du chat & de la souris, avec dans le rôle du chat, Cameron. Oh non, il était le gibier et elle était la proie. L’amour, ce sentiment de désir irrésistible envers une, et une seule personne. Vénus, Mars, Cupidon pour lui ce n’est que des légendes pour les personnes comme Caleen, romantique à souhait ! Certains neurobiologistes disent que l’amour n’est qu’un effet chimique. Nos passions, nos coups de foudre, nos extases ne sont que transposé en formules mathématiques. Juste un mécanisme spécifique du cerveau. Cameron avait du être conçu différemment alors. Tout cela n’est que foutaise ! Prenons, par exemple, deux personnes éperdument amoureux l’une de l’autre. Comme disent les chansons, elle voient « la vie en rose ». Cameron voit la « vie en rose » que quand il sait que la fille il ne l’a verra pas le lendemain, être sûr que les chagrin d’amour ne seront pas pour lui … Il en était presque à vouloir perdre certaine facultés humaines, à se détachait des sentiments visibles. Les femmes qui lui résistaient étaient celles qu'il désirait le plus, les avoir flattait son ego déjà surdimensionné. Christinna avait été un trophée, il y a une époque, maintenant ? C’était sa récompense de ses efforts pour l’avoir eu … Ou plutôt c’est-ce qu’il voulait penser. Christinna savait comment s’y prendre avec lui, elle était la seule qui pouvait le troubler autant. Cameron semblait si différente à côté de Christinna. Plus grand, plus souriant, et tellement plus... Naturelle. Elle ? On aurait dit un de ces poètes maudits et machiavéliques, fuyant le monde trop commun. Alors qu'elle semblait réellement exister, vivre. Chacun de ces gestes était empreint d'un naturel troublant. On avait l'impression qu'en la bousculant, elle tomberait. Qu'en la soulevant, elle volerait. Non pas qu'elle était fragile, mais qu'elle semblait réellement prendre la vie comme elle vient. Chaque coup de la vie l'atteignait et il le savait. Il est satisfait. Satisfait, d'avoir découvert un peu plus sur elle que d'autres hommes. Mais peut-être en avait-il apprit plus, pour au final être encore plus perdu face à elle qu'auparavant de leur aventure.

CHRISTINNA - « Donne moi encore un surnom, et je te promet que je saurais me maîtriser jusqu'à la fin de mes jours... »

__Cameron eut une moue moqueuse. Et voilà, encore une fois, il savait qu'il l’aurait. Le jeu ne faisait que commencer. Après tout, sa journée méritait bien un peu de piment, et voilà qu'il était tombé sur la seule fille capable d'apporter ce piment. S'il avait été superstitieux, il aurait cru que c'était un coup du destin, comme par hasard, ils tombaient l'un sur l'autre. Cameron décida de croire que tout cela n'était pas le fruit du hasard. Il n'avait pas envie de finir sa soirée seul. Non plus exactement, il avait envie de voir sa partenaire craquer une nouvelle fois.

CHRISTINNA - « Tu sais que tu n'aurais pas du prononcer le mot supplier, car même si je craque avant une heure, jamais je ne te supplierais, et il suffirait que je ne fasse qu'un geste pour obtenir tout ce que je veux de toi.»

CAMERON - « Allez beauté, t'énerve pas ! A croire que c'est le destin. Je vais finir par croire que tu es mon âme-sœur, si je continue à te voir autant ! Tu sais quoi ? La prochaine fois qu’on ce voit on devrait plutôt bavarder autour d'un cocktail. Toi, ça te détendra & moi...ça me permettra de te supporter, j'en ai bien besoin !»

__Il avait prononcé la dernière phrase dans un but précis : l'énerver encore plus. C'était le genre de remarques qu'il passait son temps à lui lancer. Il savait que Christinna allait s'exciter contre lui & que les "retrouvailles" n'en seraient que plus fougueuses. On pouvait bien lui accorder un don : celui de l'exaspérer au plus haut. Il n'y avait que lui pour la rendre comme ça. Il la faisait complètement sortir de ses gonds. Et c'était là l'explication. C'était la montée d'adrénaline qui était si excitante. Pour mettre Christinna dans votre lit, énervez-là, ça marche très bien ! La preuve, c'était le seul garçon avec lequel elle couchait régulièrement.

CHRISTINNA - « Et si je veux quelque chose ça ne sera pas comme la dernière fois, ça sera mieux... »

CAMERON - « Ne t’inquiète pas pour sa ! »

__Elle avait maintenant glissé ses mains sous sa chemise, décrivant ses muscles avec une fluidité un peu naïve. Et dans sa tête, ça sonnait comme une sonnerie de casino. Vous savez, cette sonnerie avant de gagner le jackpot ? C'était précisément ça. Et comme de fait, ils finirent par s'embrasser comme ça sur le l‘herbe. Oui, il s’était lentement approcher de la jeune demoiselle pour que ses lèvres vinrent enfin toucher celles de Christinna. D'abord doucement dans un mordillement léger avant de se transformer en baiser plus soutenu. Ça n'avait rien de vraiment merveilleux ou romantique, en fait pour Cameron c'était plutôt une routine débile, un pari de plus relevé haut la main. Le baiser devint plus passionné, plus fougueux, et il mit en opération son plan charme habituel mais qui rendait les filles dingues en général. Il se sentait attiré vers la jeune femme, et il se laissait approcher jusqu'à finalement perdre patience et diriger lui-même les choses. Ses mains caressaient ses jambes, remontant dangereusement sous sa robe, ses doigts pressant la peau de ses cuisses alors qu'il continuait à déposer ses lèvres sur son menton, sur son cou, descendant sur sa poitrine toujours recouverte de sa fichue robe. Il voulait y aller tout de même lentement, la rendre dingue jusqu'à ce qu'elle le supplie de faire ce qu'ils avaient tous les deux en tête. Car oui, elle allait supplier.

CHRISTINNA - « Je suis résistante mon ange... Et pour toi je ne cèderais... pas.»

__Doucement, lentement, comme pour la faire languir, ou peut-être pour appuyer ses dires ses lèvres se posèrent sur l'épaule de la jeune femme, faisant glisser la bretelle avec douceur avant de mordiller un peu sa peau, ses mains se posant finalement sur ses deux épaules alors qu'il l'embrassait avec envie. Une de ses mains s'appuyait maintenant au côté de sa tête tandis que l'autre se glissait dangereusement sur sa robe.

CAMERON - « Mon côté sarcastique, distant, qui se moque de tout, ma tête d'ange, mon corps parfaitement sculpté … Rien qu’avec sa, je t’ai déjà alors si commence mes caresse »

__Il laissa sa phrase en supent. Savant parfaitement que l’état de furieux de la jeune femme était déjà assez haut …
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Christinna Shepperd
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyDim 11 Oct - 16:38



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• Cherche moi .
que je t'attrape !




    +++ Cameron l'insupportait. Tout dans son attitude était fait pour l'insupporter. Son je m'en foutisme, son détachement, son assurance, autant de chose qui énervait Christinna et qui faisait le personnage de Cameron. Et pourtant tout ces cotés insupportable le rendait mille fois plus intéressant que les autres. Pour Christinna tout marchait à la fascination. Ce n'était pas les sentiments qui l'intéressait, elle ne voulait même pas en entendre parler, non seul le personnage l'intéressait, il fallait qu'un homme la fascine pour qu'il est une chance de rester plus d'une nuit. Cameron fascinait la jeune femme. Ils étaient les deux pôles du libertinage, elle était le pôle féminin, manipulatrice, froide, orgueilleuse, passionné, mystérieuse, il était le pôle masculin, clair, fougueux, sur de lui, fier, ambitieux, insouciant et même parfois irréfléchi. Christinna ne sentait aucune stratégie dans l'attitude de Cameron, il basait tout sur ses atouts de séduction, ses capacités à séduire. La plus grande force de Christinna était son pouvoir de séduction mais surtout son esprit manipulateur, celle de Cameron était purement physique, c'était simplement sa capacité à faire monté le désir jusqu'à ce que l'on ne puisse plus lui résister. Il était impulsif, et faisait comme bon lui semblait, il ne réfléchissait pas au conséquence, il l'énervait seulement pour augmentait sa fougue, sans même penser qu'elle risquait de se braquer de s'enfuir définitivement. Et le pire, ou le mieux dans cette histoire c'était que la technique de Cameron marchait du feu de dieu avec Christinna. Il fallait l'avouer, elle ne savait pas lui résister, et bien qu'à chaque fois elle essayait de lui tenir tête, elle savait que c'était une bataille perdu d'avance. Mais bon, ce n'est pas une raison pour baisser les bras, et le plus drôle, et ce qui faisait tout l'intérêt de leur histoire, était justement le faite que Christinna ne baissait jamais les bras,et en cherchant toujours à résister au beau brun elle ne faisait que faire monter l'excitation.

    CAMERON - « Allez beauté, t'énerve pas ! A croire que c'est le destin. Je vais finir par croire que tu es mon âme-sœur, si je continue à te voir autant ! Tu sais quoi ? La prochaine fois qu’on ce voit on devrait plutôt bavarder autour d'un cocktail. Toi, ça te détendra & moi...ça me permettra de te supporter, j'en ai bien besoin !»

    + + + Plus besoin de vous expliquer ce qui énervait tant Christinna chez Cameron. Son coté sur de lui, persuader qu'il l'avait eu et qu'il n'aurait aucun problème à l'avoir une autre fois. Certes il n'avait pas tout à fait tord, mais on pouvait en dire autant de lui, et puis Christinna n'avouerait jamais qu'elle ne pouvait pas lui résister, le terme avouer ne faisait pas partie de son vocabulaire, comme le terme sentiment, les seuls qu'elle ressentait, elle les taisait au plus profond d'elle, et les écrabouillait pour être sur qu'ils ne ressortent jamais.

    CHRISTINNA - «Ne dit pas de bêtise, tu ne saurais pas tenir 5 minutes à parler avec moi sans me sauter dessus. Mais je ne t'en veux pas, je fais cette effet là à beaucoup de monde... »

    + + + Elle lui fit un grand sourire sarcastique. Ce n'était pas parce qu'il l'énervait au plus haut point qu'elle était dans l'incapacité de lui répondre. Bien loin de là d'ailleurs, elle savait gardé son esprit clair, et savait l'énerver tout autant que lui pouvait l'exaspérer. Elle avait seulement passé sa main sous la chemise du jeune pour s'amuser, peut-être aussi pour le faire réagir, mais elle n'avait pas vraiment réfléchit au faite qu'il pourrait réagir en l'embrassant. Il savait parfaitement comment y faire avec elle. Il avait sans doute raison, elle ne résisterait pas longtemps et ça ne servait peut même à rien de lutter alors que le résultat était si évident. Tant qu'elle avait le dessus et qu'elle menait la danse elle pour lui tenir tête, sauf qu'étant donné qu'il était à califourchon sur elle, et qu'il aimait sans doute autant voir même plus qu'elle avoir le dessus, elle n'avait pas fait long feu au commande, et se retrouvait complètement sous son emprise. Elle avait beau réfléchir à un moyen d'inverser la tendance il était trop fort pour qu'elle puisse le retourner. Et puis il fallait avouer qu'elle aimait ses baisers, et que ça peau irradiait de plaisir sous ses lèvres et ses mains. Finalement seul son esprit essayait encore de lui tenir tête. Mais elle devait trouver quelque chose, elle ne le laisserait pas faire comme ça...

    CAMERON - « Mon côté sarcastique, distant, qui se moque de tout, ma tête d'ange, mon corps parfaitement sculpté … Rien qu’avec sa, je t’ai déjà alors si commence mes caresses »


    + + + Faire la morte aurait été la meilleure façon de le remettre à sa place, lui et son coté sarcastique, distant, qui se moque de tout, et sur de lui. Si seulement elle en était capable. Elle savait parfaitement simuler le désir, ça pouvait toujours être utile pour se jouer de certaine personne, mais faire comme si elle n'éprouvait rien, n'était pas encore dans ces cordes... Dommage ! Alors qu'il allait de nouveau s'emparer de ses lèvres, pendant que l'une de ses mains était à coté de sa tête, et que l'autre était sur sa robe, Christinna l'arrêta en mettant un doigt sur sa bouche. Le regardant les yeux plein de malice, et le regard provocateur.

    CHRISTINNA- « Je vois que tu aimes jouer. Que dirais-tu de ce petit jeu là : Pour faire original, prend moi ici et maintenant ! »

    + + + Son ton était posé, calme et ne trahissait pas son désir, comment pouvait-elle si rapidement se ressaisir alors que quelques secondes plus tôt elle perdait la tête sous les caresses de son amant ? C'était son secret, si elle était simple à énerver, elle retrouvait aussi son sang froid avec une rapidité déconcertante. Elle le pensait capable de relever le défit, bien qu'ils soient allongés dans l'herbe dans le parc de Prague et que sans doute nombreux d'habitant pourrait les surprendre... Restait à savoir s'il prendrait le risque, ou non. Avant même qu'il eu le temps de répondre elle l'embrassa fougueusement plaçant l'une de ses mains sur la nuque de jeune homme et l'autre dans ses cheveux pour renforcer le baiser. Rapidement ses mains glissèrent le long de la nuque de Cameron, et pendant que l'un se glissait sous la chemise, l'autre se chargeait de la déboutonner avec une adresse étonnante.

    CHRISTINNA- « Et de toute façon, soi honnête mon cœur... Si on était enfermer dans un ascenseur ou dans n'importe qu'elle autre situation, tu serais le premier à me sauter dessus. Je t'ai sans un seul regard. Tu es a moi, tu le sais et c'est pour ça que tu ne me supportes pas... »

    + + + Elle sourit, elle l'embrassa délicatement dans le cou, lui mordillant le lobe de l'oreille, jouant avec ses lèvres un jeu ou elle était experte.
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Cameron L. Scott

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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyLun 19 Oct - 19:50

La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 17163555 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 0028fkzz
« On en vient à aimer son désir et non plus l'objet de son désir. »


___On profite toujours de ce qui nous est offert, jusqu’à l’étouffement. On meurt de contemplation devant ces joyaux gratuits, et on se plaît à les regarder chaque fois que l’on les a devant ses yeux, comme s’ils étaient éphémères et que par la force du vent, ils s’en iraient. Parce que l’on a appris à se conditionner face à l’irréel, il n’existe plus d’autre abris pour les espoirs que dans l’inconscient du rêve. Et comme ils sont heureux lorsqu’ils peuvent exister. Ils vont même jusqu’à nous enivrer ; et l’on reste toute une journée avec ce petit bout de bonheur attaché à notre esprit. Les méandres des songes n’accueillent hélas plus de souhaits. On a trop peur de déchoir pour édifier une petite auberge à ses vœux. Alors, comme le couple égayé par la possession d’un rêve, l‘un contre l‘autre au milieu du parc, résistant ensemble pour garantir la longévité de leur bonheur. Ils étaient beaux, ils étaient si touchants. Leurs silhouettes se serraient l’une contre l’autre. De dos, on aurait une toile. L’aplat de leur corps serait pâle et doré, réfléchissant le soleil qui se mirait sur leur torse. Représentant la douceur de cette découverte. La femme allongée sur l’herbe souriant au éclat, l’homme par-dessus elle, l’embrassant amoureusement. Le tout formant un cœur au milieu du tableau, comme s’ils en étaient le centre. Voilà. Ils seraient l’allégorie de l’amour, et leurs grands yeux émerveillés seraient la flèche de Cupidon. Autour, il n’y aurait que du blanc, purifiant la toile de son obscurité dans les coins de la pièce.

___Enfin, c’est-ce qu’un tiers personne aurait put croire de loin car n’y Cameron ni Christinna ne sont épris de sentiment. Elle, c’est la reine des glaces, éperdument froide et associable. Elle semble complètement certaine qu’aucun sentiment, en particulier l’amour, ne s’insinuera jamais a travers ses veines et surtout son cœur qu’on pourrait considéré aujourd’hui, d’une manière absolument pas scientifique, comme de pierre. Lui, il est simplement handicapé des sentiments. Non pas qu’il ne sait pas les ressentir –chaque être humain a cette capacité en lui- il ne souhaite seulement pas les personnifier. Pourquoi ? Ce n’était pas la peur. Peut-être était-ce le ridicule, ou bien ce rabaissement au niveau des autres hommes. Un homme qui n’a pas de cœur est, par défaut, un homme qui n’a peur de rien. Il ne peut être troublé par aucune envie d’ordre amoureuse. Il n’a pas à craindre de sombrer dans les déboires, parce que rien ne l’y pousse. Et s’il se jette à corps perdu dans les drogues et l’alcool, rien ne peut le rendre accro. Parce qu’à force d’enterrer ses sentiments, on n’en ressent presque plus. Et ce vide d’abord occasionné par eux se rebouche presque totalement, recouvert par cette immonde terre. C’est pourquoi, il enchaîne les filles comme si il enchaîne les verres d’alcool. Ses sentiments sont très liés à ces pulsions sexuelles. L’amour n’existe que pour le plaisir de la chair. Et Cameron se sentait savourer par cette manipulation du démon. On l’avait envoyé sur terre pour réaliser ses méfaits. Il allait peut-être, symboliquement parlant évidemment, souiller Eve et la punir de son péché originel. Souiller ou réjouir, il ne le savait pas encore le bougre. Et Christinna était une personne aussi...sulfureuse que lui-même. Il était tombé sur son alter ego, son clone féminin. Il semblait qu'il se regardait dans un miroir. Le reflet avait des traits parfaits. Ce n'était pas une pâle copie mais bel et bien une image identique, aussi authentique que lui. Christinna Shepherd. La seul ou il avait fait un effort pour retenir son prénom, ça n’avait pas était évident. Ce fût un challenge pour lui. Cameron n’était pas le genre de mec qui retenait ces détails qui lui paraissaient anodins. En réalité, il ne se souvenait que rarement de ses conquêtes. Tout ce qui l’intéressait, c’était le jeu de séduction qui pouvait intervenir entre deux personnes et puis le bouquet final, la libération...

CHRISTINNA - «Ne dit pas de bêtise, tu ne saurais pas tenir 5 minutes à parler avec moi sans me sauter dessus. Mais je ne t'en veux pas, je fais cette effet là à beaucoup de monde... »

___Et voilà. Comme prévu. Christinna s'était de nouveau énervée contre lui, ce qui constituait son passe-temps favori. Il sourit et se retint d'éclater de rire. Oui, il le savait, c'était un parfait enfoiré, qui prenait son pied à la vanner, juste pour le plaisir de la voir s'énerver & de pouvoir partager des moments plutôt chauds avec la jeune femme. Et on va assister à un match de tennis, puisque Cameron renvoyant la balle avec plus d'acidité que celle de Christinna.

CAMERON - « Sa fais presque peur de voir que tu fais ta propre autocritique ! Et c’est toi qui me saute dessus à chaque fois. Alors je te conseillerais plutôt d'assumer. T'as envie de moi, c'est pas grave tu sais, t'es pas la première, ni la dernière. Et puis entre nous, comment tu pourrais ne pas avoir envie de moi ? »

___La soirée promettait d'être animée, si on prenait en compte le fait que plus elle était énervée, plus leurs parties de jambes en l'air étaient fougueuses et il en était sûr qu’elle serait hors d’elle. Mais il était en position de force, c'était lui qui menait la danse, qui pouvait choisir à tout moment quand lui sauter dessus. La situation ne tourné pas à l’avantage de Christinna. Il adorait cela. Séduire, être séduit, jouer encore et encore. C’était un cercle vicieux qui ne cesserait jamais de le lasser. Tel était son vice. Les délices de la volupté. Il se sentait puissant et vulnérable à la fois, le rêve. Il planait sur son nuage d’extases éternelles. A chaque gestes, chaque phrases, ils avaient inversé les rôles, passant du chasseur à la proie et de la proie au chasseur sanguinaire. Mais là, elle était sa proie ! Lentement, il s’était avancer pour que leurs lèvres se rencontre tandis que sa main explorer dangereusement sous sa robe mais rapidement, elle l’arrêta en posant un doigt sur ses lèvres. Ce geste lui semblait particulièrement interminable pour le jeune homme qui n'avait qu'une hâte, qu'elle l'embrasse. Néanmoins, son regard provocateur interpella spécialement Cameron. Qui sur Christinna ne disait rien de bon, ou pas … Oh oui, il aura mieux qu’un simple baiser !

CHRISTINNA- « Je vois que tu aimes jouer. Que dirais-tu de ce petit jeu là : Pour faire original, prend moi ici et maintenant ! »

___Si je devais caractériser Cameron à la perfection, je dirais qu’il avait constamment soif de défi. Des défis auxquels il pouvait perdre absolument tout. Il avait le goût, voire la dépendance du jeu. Il est insouciant et sans aucune limite. Une main sous sa blouse, l’autre qui entreprenait l’ouverture de jean. Oh oui il était capable de relever le défit, insouciant et sans aucune limite. Il y a bien une première fois à tout et sa première fois serait de le faire dans un parc en journée et avec la belle miss Shepherd ! Elle avait du comprendre le message car rapidement, elle l’attira vers elle pour l’embrasser fougueusement et se chargeait de lui débarrasser de sa chemise.

CHRISTINNA- « Et de toute façon, soi honnête mon cœur... Si on était enfermer dans un ascenseur ou dans n'importe qu'elle autre situation, tu serais le premier à me sauter dessus. Je t'ai sans un seul regard. Tu es a moi, tu le sais et c'est pour ça que tu ne me supportes pas... »

CAMERON - « Je suis irrésistible, tu me le prouves à chaque fois, Christinna. A force de tout le temps céder, on peux se demander qui se saute dessus. Alors, fais pas la fausse troublée, tu en as envie, j'en ai envie, on est des adultes, alors pourquoi vouloir faire semblant ? »

___A ces mots, il l'embrassa. C'était un baiser beaucoup moins fougueux qu'habituellement. Mais, pour une fois, il n'avait pas envie d'une étreinte passionnée. A vrai dire, il ne savait pas trop ce dont il avait envie. Quoiqu'il en soit, il l'embrassa de nouveau, puis retira lentement ses lèvres tout en regardant la jeune femme droit dans les yeux.
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Christinna Shepperd
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyMer 21 Oct - 11:35



La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 837604sophia3 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 17163555

• Quoique je fasse, je ne suis pas ta poupée.
je ne suis pas ton ange, je suis ton diable et je te hais !




+ + + Ah, l'illusion, l'hypocrisie, le mensonge, le jeu. Un domaine ou la jeune femme excellait. Qui pourrait croire en voyant les deux amant allongés l'un sur l'autre entrain de s'embrasser qu'aucun sentiment ne les liait ? Si se n'est un désir certain, une haine relative. Oui je sais, on le dit souvent, entre la haine et l'amour il n'y a qu'un pas. Mais Christinna n'était pas capable d'amour, tout le monde la connaissait comme la reine des glaces, la magnifique au cœur de pierre. Alors quoique vous pourrez pensez d'elle, ou de ses sentiments, rappeler vous de ceci, Christinna n'est pas capable d'aimer. Peut être qu'elle l'ait, mais si elle aime la haine, l'amour elle le hait et le fuit comme la peste, alors si a un seul moment elle doute de ses sentiments pour vous, qu'elle sent l'amour arriver, ne vous faite pas d'illusion elle saccagera bien assez vite votre relation si bien que vous n'aurez même pas eu le temps de songer à ses possibles sentiments. Christinna était comme ça, sa carapace résidait dans sa froideur, dans sa lucidité, et dans son art de la manipulation. Elle n'hésiterait pas à sacrifier quiconque qui la mettrait en danger elle. Dans ces conditions il n'était pas étonnant qu'elle n'ait pas beaucoup d'ami proche, mais bon, la belle préférait souffrir de la solitude, plutôt que de souffrir de l'abandon et d'une solitude encore plus cruelle. Elle avait fait son choix il y a bien longtemps, elle s'était imposée des règles, et jusqu'alors elle les avait respecté à la perfection. Que Cameron soit un handicapé des sentiments elle s'en fichait pas mal, si elle le voulait elle saurait sans doute le faire plier, ou du moins se rendre indispensable à ses yeux, et alors sans doute à ce moment là, au moment ou il aurait besoin d'elle, elle se sentira trop attaché à lui, et massacrera tout. Ce n'était pas sa faute, s'il était homme à qui elle pouvait s'attacher sérieusement, c'était la sienne, oui s'il s'attachait à elle, il causerait sa propre perte.

+ + + Elle détestait Cameron. A chaque fois qu'elle le voyait elle avait des envies de meurtre. Il fallait dire que le jeune homme faisait tout pour la pousser à bout. Il s'amusait avec elle, il la poussait à bout, attisant la passion, attisant la colère de la jeune femme. Et à chaque fois Christinna marchait, c'était plus fort qu'elle, elle pouvait essayer de se contenir, elle avait un besoin irréductible de le remettre à sa place, mais à chaque fois qu'elle lui répondait elle s'enfonçait encore plus, et lui donnait une nouvelle perche pour la pendre. C'était un cercle vicieux, et elle était prise en son centre. Cette évidence était sans aucun doute celle qui l'énervait le plus, car qui pouvait se vanter de jouer de la sorte avec Christinna contre son gré ? Peu de gens sans aucun doute, elle avait l'habitude de mené la danse, elle aimait avoir le dessus, mais il fallait souvent avouer qu'avec Cameron, elle se retrouvait le plus souvent en dessous.

CAMERON - « Sa fais presque peur de voir que tu fais ta propre autocritique ! Et c’est toi qui me saute dessus à chaque fois. Alors je te conseillerais plutôt d'assumer. T'as envie de moi, c'est pas grave tu sais, t'es pas la première, ni la dernière. Et puis entre nous, comment tu pourrais ne pas avoir envie de moi ? »

+ + + Ce que disait Cameron était sans doute vrai, elle ne savait pas lui résisté et aucune femme normalement constituer ne lui résisterait, mais il y avait la manière de le dire. La manière de dire que c'était seulement elle qui lui sautait dessus et qu'il n'en avait rien à foutre, qu'il accédait seulement au désir de la belle brune, car entre nous tout le monde sait que le désir était plus que partagé. Le pire dans son ton était surement cette assurance, cette maudite assurance qui avait le don de crisper Christinna, de la mettre hors d'elle. Non elle ne répondrait pas à ses provocations, elle attendrait le moment opportun pour frapper, et lui recracherait tout à la figure, elle serait le serpent et elle recracherait tout son venin à la figure. Elle espérait bien que la morsure serait douloureuse. Elle ne supportait plus cette assurance qui lui donnait l'impression qu'elle était à lui, qu'il n'y avait plus d'autre échappatoire, elle voulait le réveiller. Elle ne voulait pas encore détruire leur relation elle l'amusait bien, et plus elle en retirait beaucoup de plaisir alors pourquoi tout détruire maintenant ? Mais pour le moment elle se sentait prise au piège, elle le sentait trop sur de lui, il ne prenait plus la peine de la séduire, il savait que ce travail avait déjà été fait, il ne venait plus que réclamer son du. Mais Christinna n'est pas comme ça, elle n'est pas une de ses filles stupides, indécrottables romantique qu'on peut séduire une fois et garder pour le restant de leur vie. Non Christinna n'était pas comme elle, mille homme pourrait la satisfaire autant que Cameron la satisferait, et peut être qu'il n'en avait pas tout à fait conscience.

+ + + Son regard était un véritable brasier, sans doute en si plongeant trop longtemps il pourrait si bruler. Elle gardait tout cette colère en elle, et n'en laissait aucune trace, ce n'est dans ses yeux. Mais n'importe qu'elle amateur pourrait prendre ce brasier pour de la passion, et il n'aurait pas tord, la colère, la haine, ne sont elles pas des formes de passion ? Quoiqu'il en soit il allait morflé, la belle acérait lentement ses griffes sous le poids des baisers assurer de son amant. Elle choisissait ses mots, les mots qui le percuterait le plus, de petite lame qui irait viser son égo. Car c'était son égo surdimensionné qui lui donnait son assurance, et pour une fois dans toute sa vie elle espérait le faire vaciller. Mais avant de dire quoique ce soit, il fallait qu'elle se calme, qu'elle se maîtrise. Sa proposition des plus indécente n'était là que pour rendre la chute plus douloureuse. Elle se rendait quelque instant et sauterait lorsqu'il serait encore temps pour le voir tombé seul. Peut être qu'il la rattraperait, elle ne demandait que ça, qu'il la rattrape. Elle serait encore plus déçu de le voir abandonné, mais normalement ce n'était pas son genre. Il n'abandonnait pas, il ne l'abandonnerait pas, elle était utile à son égo, justement parce qu'elle lui ressemblait, et qu'elle était une proie de choix, mais à cette instant elle s'apprêtait à être un chasseur de choix.

CAMERON - « Je suis irrésistible, tu me le prouves à chaque fois, Christinna. A force de tout le temps céder, on peux se demander qui se saute dessus. Alors, fais pas la fausse troublée, tu en as envie, j'en ai envie, on est des adultes, alors pourquoi vouloir faire semblant ? »

+ + + Cette phrase fit sourire Christinna. Simplement parce que c'était l'une des rares phrases vraiment censé et mesurée qu'avait prononcé Cameron depuis le début de leur rencontre, et puis que Christinna s'apprêtait à ce moment même à lui faire une représentation d'hypocrisie la plus exceptionnel. Car elle le sentait elle était capable de se reformer son visage dur, elle pouvait se donner l'expression du dégout, de la haine. Elle était serpent, il était sa proie, il ne lui échapperait pas. Ces talents de comédienne, elle les dominait largement, et saurais se montrer crédible. Le baiser de Cameron l'étonna, parce qu'il était moins fougueux, et qui se retira plutôt rapidement pour la regarder dans les yeux, ses yeux toujours plein de passion de colère. Ce geste la surpris, mais elle en profita, elle sentit que Cameron avait légèrement déserre son étreinte autours d'elle, sur qu'elle ne voudrait plus s'enfuir et qu'elle avait capituler. D'un mouvement brusque, elle plaqua ses mains sur le torse de son amant, et d'un coup de rein elle le fit basculer. Comme si le choc n'était pas assez violent, elle se retira de lui en disant :

CHRISTINNA- « Tu as raison arrêtons de faire semblant ! J'ai essayé, j'en peux plus. Tu me dégoutes, dans tes baisers les relents d'alcool et d'assurance prennent le pas sur tout. Je ne suis pas une des tes potiches que tu prends quand tu veux, parce que tu es irrésistibles. Si tu m'as et encore je ne t'appartient pas, c'est seulement parce que je le veux et pas l'inverse. Parce que soyons honnête ta technique de séduction laisse à désirer, alors oui elle marche avec toutes ses pouffiasses que tu traîne dans ton lit, mais avec moi tu en es encore bien loin. Donc ton assurance déplacé du grand chasseur qui à choppé sa proie tu te la garde pour quelqu'un d'autre. Pour Caleen par exemple. Ah mais j'oubliais, elle aussi elle ne veut pas de toi. Comme quoi tu n'as pas la carrure pour être l'amant d'excellence, et encore moins celle pour être le prince charmant. Alors maintenant la seule chose que je peux faire, c'est t'ouvrir les yeux, si ça ne te servira pas pour moi, ça te servira peut être pour la suivante, admettons qu'elle m'arrive à la cheville. Tu es beaux, je ne le nie pas, tu es désirable, et tu es une tête bruler, c'est la seule chose qui m'attire chez toi. Arrête de croire que me mettre en colère elle la seule manière d'obtenir une relation passionnel. A jouer avec le feu on finit par se bruler. Je peux être bien plus fougueuse que tu ne le pense, je peux endosser tous les rôles que tu désires, je peux même t'emmener au delà du septième ciel si tu le demandes. Mais tu ne sais pas demandé, tu me fais rester à terre, jamais tu ne me fais décollé, c'est même à se demander si en restant avec toi je ne vais pas devoir finir par simuler un orgasme pour ne pas froisser ton égo. Tu en fais sans doute rêvé plus d'une, mais moi ça ne me suffit pas, ça ne me suffit plus. Tu penses m'avoir, tu es sur de ta conquêtes, tu m'inssuporte, je te déteste, je ne te désir plus, je ne veux plus te désirer. Je ne suis pas une de tes potiches que tu séduit une fois et qui t'appartienne. J'ai tous les garçons que je veux, ils sont tous à mes pieds, je claque des doigts et il y en a mille qui vienne te remplacer, alors si tu penses me garder à ta porter avec tes performances médiocres tu te fourre le doigts bien loin. Séduit qui tu veux avec ton physique seul et ta réputation, je suis beaucoup plus distingué que toute celle qui tu as séduite au par avant, tu le sais, et moi je demande plus. Beaucoup plus. Mais il semble que tu sois bien loin de pouvoir me satisfaire. Tu n'es qu'une queue Cameron, et une queue ça n'avance pas assez vite, alors ne t'étonne pas si tu ne peux pas me suivre. Maintenant si tu veux bien m'excuser on mettra notre plan dans le parc à une autre fois, quand tu auras les idées clairs, et que tu pourrais me satisfaire... »


+ + + Christinna n'avait pas cillé. Oui elle avait sortit beaucoup de mensonge, mais elle en était sans doute plus percutante. Oui Cameron pourrait lui rire au nez, il en serait capable, mais elle lui résisterait, et pourrait parfaitement se tirer, il ne savait pas de quoi elle était capable, et elle était bien loin de ses plus brillantes performance.
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Cameron L. Scott

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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyMer 28 Oct - 14:47

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« Qui t'aime te fait pleurer; qui te hait te fait rire. »



___Cameron n'avait écouté que cinq secondes à peine du discours de Christinna, et ça lui avait arraché un bâillement. Il ne supportait pas l'inaction sous toutes ses formes, c'était connu. Tout comme il détestait faire quelque chose qui ne lui plaisait pas, parce qu'il était obligé. Il était un esprit libre & sauvage, et si il ne désirait pas écouter le discours surfait d’une jeune fillette bidon qui n‘est là que pour ce plaindre, rien ni personne ne pouvait le forcer. En effet, il était très facile d'attirer l'attention de Cameron Lucas Scott, mais tout aussi aisé de la perdre. Il avait ce pouvoir quasi enfantin de s'émerveiller de tout, mais celui qui l'était tout autant de se lasser dans la seconde. Comme une enfant qui passait d'un jouet à un autre avec indécision, Cameron papillonnait de femme en femme, de soirées en soirées, de bras en bras. Il pouvait se changer un nombre incalculable de fois et semblait tellement inconstant qu'il en était fatigant. Après un long soupir lancé pour expliquer qu‘il s‘ennuyait à mourir. Damn it. Après tout, on était jeunes qu'une seule fois, même si on s'en souvenait toute sa vie, alors autant pas perdre de temps à écouter des discours rasoirs. La cérémonie des Oscars lui suffisait amplement, en terme de soirée chiante à mourir. Il n’était pas homme, attentif et disponible, qui se pouvait écouter une litanie sur la sexualité des escargots. Tandis qu'elle continuait de parler, le jeune homme pouvait sentir l'électricité dans l'air. Christinna était en effet à quatre pattes au-dessus de lui, situation pour le moins agréable, étant donné la vue particulièrement agréable sur le décolleté de celle-ci. Elle poursuivit son discours. Celui-ci semblait particulièrement interminable pour le jeune homme qui n'avait qu'une hâte, qu'elle l'embrasse. Néanmoins, pour le moment c'était elle qui était en position de force, c'était elle qui menait la danse, qui pouvait choisir à tout moment de lui sauter dessus ou de partir.

CHRISTINNA - « Comme quoi tu n'as pas la carrure pour être l'amant d'excellence, et encore moins celle pour être le prince charmant. Alors maintenant la seule chose que je peux faire, c'est t'ouvrir les yeux, si ça ne te servira pas pour moi, ça te servira peut être pour la suivante, admettons qu'elle m'arrive à la cheville. Tu es beaux, je ne le nie pas, tu es désirable, et tu es une tête bruler, c'est la seule chose qui m'attire chez toi. Arrête de croire que me mettre en colère elle la seule manière d'obtenir une relation passionnel. »

___Elle continuait à jouer avec lui, lui murmurant tout ça, il sentait son souffle sur lui. Bien qu'assez intéressante, la situation ne tournait pas à l'avantage de Cameron. Il détestait ne pas avoir le contrôle de la situation. Christinna pouvait à tout prix le laisser en plan comme ça, idée pour le moins inconcevable. Il saisit alors les mains de la jeune femme avant de la faire basculer sur le côté, sur le dos et de se positionner à quatre pattes sur elle. Il était partagé entre l'envie de lui susurrer des mots comme elle venait de le faire, ou de partir, histoire qu'elle comprenne que c'était lui qui décidait où, quand et comment. Il approcha sa bouche près de l'oreille de Christinna et murmura :

CAMERON - « Et maintenant, Shepherd, qui a le pouvoir ? A force de me critiquer, tu pourrais bien finir par ne plus m'avoir. Qu'est-ce qui te dis que si toi tu aimes ça, c'est également mon cas ? Alors prudence, ne te trompe pas ou tu pourrais dire adieu à nos parties de jambes en l'air. »

Cameron était un homme d'instinct plutôt impulsif, qui suivait son cœur à la place de son cerveau, en agissant bien avant de réfléchir. D'ailleurs, la plupart du temps, il ne réfléchissait pas. Non pas qu'il ne possédait pas un cerveau en parfait état de marche, ou que son QI avoisinait celui de Paris Hilton - loin de là. Simplement, foncer droit dans un mur semblait bien plus amusant que d'écouter sa raison, qui devait forcément être celle d'un grognas de quatre vingt balais, ridé et frustré, pour être si chiant. Comme il ne supportait pas les gens pessimistes, il ne se considérait pas comme 'impulsive' mais comme une personne 'spontanée'. Dit comme ça, ça en jetait carrément plus. Il en avait marre de l’entendre geindre, «Oui, il était un véritable malotru. Bien sûr qu'il était invivable, quelle question. Un bon coup, lui ? Non mais vous voulez rire ? C'était la torture quasi quotidienne, puis faire semblant, mais quel métier !  » En clair son discours n’était basé que sur le point qu’il était un garçon insignifiant, détestable et devait être rayé de la surface de la Terre, parce que respirer le même oxygène que lui était la pire des humiliations. Blablabla … Et à chaque fois qu’ils s’adressaient la parole c’était la même chose, elle bouillonnait mais littéralement ! Cameron devait le pouvoir d'agir sur ses hormones, ou sur un truc dont elle ignorait l'existence. Il la rendait toujours littéralement dingue, et limite borderline.
C’est à ce demander si elle n’allait pas enlever ses escarpins, lui planter dans la rétine et après... Après, elle avisera. Peut être qu'elle lui ferait manger ses propres yeux. Ou pas. Enfin. Presque impassible comme à son habitude, la colère de Christinna ne fit que se décupler. Elle ressemblait à une furie qui s'agitait inutilement sortant un blabla interminable ! Elle avait surement dû naître avec le gêne du psychodrame. Et absolument malgré lui, Cameron se mit à rire. Après avoir vainement essayé de demeurer impassible devant une telle scène, il dut se reconnaître vaincu quand le risible d’une telle attitude face à lui supplanta de très loin son implication à la détester. Elle n’avait pas son pareil pour le pousser autant à la colère qu’à… rire ? Oui, Cameron n’était qu’un enfoiré qui riait - il n’était seulement qu’un connard de puritain - et il ne put qu’étouffer un rire avant de le laisser aller. Oui, c’était humiliant pour notre chère Christinna, mais, un peu plus un peu moins, elle ne devait plus guère sentir la différence. Et devant une telle déclaration, Cameron se contenta de chercher au fond de lui-même le plus grand sérieux avant d’avoir n’importe quelle répartie. Difficile. Très difficile. C’était dans cet instant que le mot « fou rire » prenait tout son sens.

___Plus dépassé qu’il n’était sarcastique - pour une fois, il parvint tout de même à prendre sur lui et à effacer cet accès de rire proprement incontrôlable. Non seulement il n’avait pas exactement cherché à être blessant, mais il ne le regrettait tout de même pas pour autant. Aux vues de ce qu’elle venait de lui dire, elle n’en méritait pas tellement plus finalement. Autant aurait-il été susceptible qu’il aurait pris chaque ligne de son speech pour en défaire ce qui était tout sauf un argumentaire, autant était-il complètement au-dessus de cela depuis longtemps, qu’il préféra embrayer - littéralement - sur quelque chose d’absolument différent, et de corrélé cependant.

CAMERON - « Oh, cette ville ne pouvait pas survivre à ta perte, c'est évident, même moi je ne sais pas ce que je serais sans toi … Bon, je n'ai pas spécialement envie de passer ma soirée avec une femme qui ne peut absolument pas me voir. Il y a des tas de filles dans l'hôtel, j'en trouverai bien une qui m'intéressera. »

Lui adressant son sourire le plus chaotique, Cameron se leva et tourna les talons en haussant de nouveau les épaules. Aucun des deux n’avaient l'habitude de voir l’un ou l’autre refusait de passer la nuit ensemble.
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Christinna Shepperd
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyMer 28 Oct - 17:01



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• A trop jouer avec le feu
on fini par se bruler. Laisse moi jouer... !




+ + + Stupide, elle avait été stupide. Maintenant elle se rappelait pourquoi elle ne couchait jamais deux fois avec le même mec, elle se rappelait pourquoi elle n'avait jamais eu d'amant fixe, jamais eu de petit ami. Elle se rappelait maintenant, mais c'était trop tard. L'indifférence, sans doute la seule chose qui pouvait atteindre Christinna. Vous pouviez l'attaquer tant que vous voulez, elle s'énerverait, riposterait mais ne serait jamais vaincu, jamais briser, jamais blesser. Mais ignorez là, ne répondez pas à ces coups, laissez là seule, et vous verrez la souffrance percer dans son regard, vous pourrez peut être même entendre ce gonfler, se fissurer. Enfant de la solitude, il n'y avait plus que ça qui pouvait la faire souffrir. Elle voyait bien que Cameron faisait celui qui s'en fichait, qui s'ennuyait et qui n'écoutait pas. Si elle continuait ce n'était que dans l'espoir de le faire réagir. Comment pouvait-elle avoir instaurer autant de distance entre eux ? Comment pouvaient-ils en être arriver là ? Il y a quelques jours ils prenaient plaisir à ce parler, ils se taquinaient sans cesse, mais jamais ils ne se blessaient l'un l'autre, jamais ils ne s'étaient fait souffrir. A chaque rencontre le désir prenait le pas sur tout, il était toujours plus fort que les mots, plus fort que leur chamaillerie, et Christinna aimait ça. Ne vous méprenez pas, elle n'aimait pas Cameron. Elle aimait ce que Cameron lui apportait, elle aimait les sentiments et le désir que Cameron lui inspirait, en soi Cameron elle s'en fichait, ça pourrait aussi bien être un autre que ça aurait peu d'importance. Seulement avec lui elle se sentait vivre, et pour des moments comme celui là elle donnerait n'importe quoi. Mais aujourd'hui tout semblait changer. Ils étaient passer en quelques secondes d'un désir incontrôlable à une haine et une froideur sans pareille. Encore une fois il la fit basculer et la tint en dessous de lui en lui tenant les mains clouer au sol. Pauvre Cameron qui avait besoin de sentir qu'il tenait la situation entre ces mains. Il acceptait de laisser Christinna, mais ne supporterait pas qu'elle le laisse, chose ridicule. Elle le regardait les yeux brulant de haine, brillant de larme. Oui de larme. Ce n'était pas Cameron qui la faisait pleurer, il était juste la goute qui faisait déborder le vase. A New York la belle dominait tout son monde, elle n'avait aucun rival, personne qui ne venait s'attaquer à elle, enfin si mais personne capable de la faire souffrir, personne qui pourrait lui recracher sa solitude à la figure, personne qui pouvait se sentir inutile, invisible. A Prague tout était différent, elle ne maîtrisait pas la ville, elle ne maîtrisait pas toute sa population. Elle était dans un monde dont elle ne connaissait pas les règles, et qui pouvait à tout moment le broyer. D'abords Amber qui ne comprenait rien à rien, et qui aussi aveugle d'une taupe fonçait dans le tas, et cherchait à blesser Christinna. Puis maintenant Cameron qui l'avait d'abord chercher avec l'aide d'Amber, et qui maintenant jouait à celui qui perdait son temps avec elle, et qui se fichait d'elle. On ne se fichait pas de Christinna, on pouvait la haïr, l'aimer peut importe mais à part ses parents personne ne se fichait d'elle, et pourtant c'est ce que faisait croire le jeune homme. Elle n'avait jamais accepter cette solitude, ce rejet, et le sentir aujourd'hui faisait couler les larmes.

CAMERON - « Et maintenant, Shepherd, qui a le pouvoir ? A force de me critiquer, tu pourrais bien finir par ne plus m'avoir. Qu'est-ce qui te dis que si toi tu aimes ça, c'est également mon cas ? Alors prudence, ne te trompe pas ou tu pourrais dire adieu à nos parties de jambes en l'air. »

CHRISTINNA - « Eh bien dégage Scott. Dégage et ne revient jamais vers moi.»

+ + + Ces mots avait claqué. Seul la fin de la phrase semblait mourir dans la gorge de la jeune femme. Elle n'était pas toutes les femmes que Cameron avait eu auparavant et qu'il pouvait dominer. Elle n'était pas de ces femmes qui avait à être prudente pour garder un homme. Et surtout elle ne retenait personne, et surtout pas lui. Il jouait trop avec elle, il cherchait sans cesse à la dominer, elle lui avait pourtant bien des fois prouver qu'elle était son égal. Maintenant elle voulait qu'il parte, elle ne voulait plus le revoir. Qu'il s'en aille puisqu'il se fichait autant d'elle. Il n'aimait pas leur partie de jambe en l'air ? Mensonge sans doute, mais puisqu'il l'avait dit il n'avait qu'à aller voir ailleurs si l'herbe était plus verte. Elle n'aimait pas garder le même amant longtemps elle savait maintenant pourquoi. Parce qu'à force rester avec elle, il finissait par croire qu'elle leur appartenait, et il ne prenait plus la peine de la séduire, il était capable de rentrer sans dire un mot dans la chambre, de lui sauter dessus et de dire qu'elle ne pouvait plus se passer d'eux. Maudite arrogance qui l'énervait. Il finissait même par penser que c'était à elle de le séduire pour les retenir. Mais elle ne chercherait pas à retenir quelqu'un qui pensait qu'elle était à lui. Ce n'était pas un défit convenable pour elle et elle préférait partir.

+ + + Cameron ne la lâchait pas, toujours à califourchon sur elle, il tenait ses mains et la regardait dans les yeux. Elle détourna la tête, elle ne voulait pas croiser son regard, elle ne voulait pas qu'il croise son regard. Son regard brulant de haine, brillant de larme. Il ne devait pas la voir pleurer, c'était une abération, Christinna Shepperd ne pleurait jamais. Elle était la reine de glace et rien ne l'atteignait. Et elle savait bien que s'il la voyait pleurer se crétin penserait qu'il en était la seule cause. Jamais il ne comprendrait que derrière lui c'était son passé qui remontait, son passé qui la rongeait, qui la détruisait, et qui faisait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui, une loque cacher derrière une armoire à glace. Elle commença à se débattre, espérant lui faire lâcher prise. Elle se mordait la lèvre inférieur pour ne pas craquer. Elle se la mordait si fort que déjà une goute de sang venait perler sur sa lèvre. Elle devait parvenir à se contrôler, elle ne pouvait pas perdre le contrôle sur elle même, pas maintenant en tout cas. Ce genre de crise lui était déjà arrivé, et lui arrivait régulièrement. Mais elles arrivaient lorsqu'elle était seule à labris des regards ou avec Alana sa cousine, et la personne qui était sans doute la plus proche d'elle. Ses crises survenaient lorsque la douleur était trop fort pour qu'elle puisse la contenir, lorsque sa souffrance accumulé et dissimuler derrière cette façade de glace devenait suffisamment forte pour briser la glace et s'échapper en masse. Dans ses cas là, Christinna était immétrisable. Personne ne devait jamais avoir vu autant d'énergie, de souffrance s'échapper de quelqu'un. Et à ce moment précis elle refusait obstinement de craquer, surtout pas devant Cameron. Il ne pourrait pas comprendre. Elle accepterait de craquer devant Alana, devant Sébastien, devant Emy, Dylan même, mais Cameron ? C'était tout simplement impensable. Alors elle se contentait de se mordre la lèvre jusqu'au sang. De serrer ses points jusqu'à sentir ses ongles entamer sa chair. De tourner la tête pour que Cameron ne voit pas son visage. Mais pourrait-il être vraiment dupe de toute cette petite mascarade. Elle voulait hurler "dégage" mais tout mourrait dans sa gorge, seul sa souffrance, sa solitude acceptait de sortir. Elle tapait violemment avec ses jambes dans l'espoir de lui faire mal et qu'il s'en aille, mais ses gestes désespérer ne faisait qu'accentuer le rire du jeune homme.

CAMERON - « Oh, cette ville ne pouvait pas survivre à ta perte, c'est évident, même moi je ne sais pas ce que je serais sans toi … Bon, je n'ai pas spécialement envie de passer ma soirée avec une femme qui ne peut absolument pas me voir. Il y a des tas de filles dans l'hôtel, j'en trouverai bien une qui m'intéressera. »

+ + + Enfin il se résignait à partir. Elle n'en pouvait plus de son rire, de son rire qui lui perçait le coeur, qui augmentait encore plus sa souffrance. Oui elle était risible. Elle perdait complètement le contrôle sur elle même, et savait qu'elle ne pouvait rien faire pour éviter ça, elle ne se contrôlerait pas indéfiniment. Elle voulait le voir partir, elle ne voulait plus le voir !!

CHRISTINNA - « Dégage Scott. Dégage et ne revient jamais vers moi.»

+ + + Lorsqu'il fut partit, elle se redressa et mis sa tête dans ses bras contre ses genoux. Elle aurait besoin de sa trompette, elle savait évacué sa souffrance en jouant, elle ne savait pas le faire autrement. Elle était seule irrémédiablement seul. S'il était encore là elle ne le voyait plus, elle se balançait d'avant en arrière, les yeux complètement embuer par les larmes. Elle était une loque. Christinna Shepperd la reine des Glaces n'était qu'une loque et il était invraisemblable que le monde ne s'en soit pas encore rendu compte.
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Cameron L. Scott

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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyDim 1 Nov - 12:31

La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 2458 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 17163555
« Tu as jouer, tu t’es brûler … »


CHRISTINNA - « Eh bien dégage Scott. Dégage et ne revient jamais vers moi.»

CAMERON - « Ta maîtrise de notre langue s’est améliorée, je crois. »

__Il la toisa un court instant avant de croiser les bras. Ca en était trop. Sa journée avait été bien trop éprouvante. Il se retourna, s'alluma une cigarette et s’éloigna. Loin d’elle, loin de tout. Il avait marcher pour ne plus entendre ses cris, ses pleures jusque quelques pas, elle pouvait toujours voir son ombre. Le voir debout, stoïque laissait l'air frais lui fouetter le visage. Il voulait simplement prendre l'air en espérant que ça l'aiderait à se calmer. A aller mieux. A faire le vide. Le vide qui lui était nécessaire. Son équilibre était tellement instable, aussi paradoxal soit ceci, qu'il fallait qu'il se calme et qu'il réfléchisse au lieu d'agir, pour une fois. Ca lui était pourtant impossible. Là, maintenant et tout de suite, il se sentait comme pris au piège. Le parc lui paraissait trop étroite, les côtes semblaient se rapprocher peu à peu de lui comme pour mieux l'enserrer. Il étouffait, bordel. Il ne pouvait pas continuer comme ça, à fuir il ne savait quoi. Ou plutôt, il savait trop bien ce qu'il fuyait : le désir. La souffrance aussi. Elle. Mais putain il était Cameron Lucas Scott ! Il avait agi comme le pire des salauds avec elle. Mais il devait la briser, la détruire. Il devra faire comme avec toutes les femmes, mais en pire, de telle sorte qu’elle ne puisse jamais se relever d’un tel échec. Il se sentait comme un lion en cage, arpentant sa prison bien trop étroite. Cameron avait beau être à l'extérieur, dans un parc magnifique et immense, il était mal. Se sentait mal. Sa respiration était saccadée et ses mains tremblaient malgré lui. Même la nicotine ne parvenait pas à l'apaiser. Et ces saloperies de personne qui commençaient à arriver ne l'aidaient en rien à y voir plus clair, ou à se concentrer. Tout l‘agaçait : le soleil, les quelques personnes matinal ! Cameron détestait être si négatif mais il n'y avait pas à dire cette journée n‘a rien arranger pour qu‘il soit heureux ou joyeux. En tant normal, il la baisait sans un mot, sans un seul signe de tendresse avant de se barrer toujours sans une explication. Mais pas aujourd’hui. Il l’entendais sangloter, elle souffrait, il le savait. Mais jamais il ira la consoler. Cameron n’était pas une de ses personnes passionné ou l'amour devait le consumer ou l'amour devait lui brûler les ailes. Non ! Il était perdu, il ne savait plus quoi faire. Elle le rendait dingue ! Les sentiments pour lui juste une entrave, un handicap, rien de plus. Dire ce que l'on ressentait, tout abandonner même son égo s’était ridicule. Elle était pathétique ! Debout et seul dans un coin du parc non éloigné de Christinna, Cameron tirait nerveusement sur sa clope, se nourrissant de la fumée qui se dégageait. Pourtant, ce geste ne l'apaisait même pas. Rien ne semblait pouvoir le faire. Rien ne semblait pouvoir le calmer et faire redescendre la pression. Pourtant, il en avait besoin. Lucas se retourna, le regard sombre et pas très avenant, il la regardait. Christinna. Le sang affluait violemment à ses tempes tandis que Cameron jeta un regard vers elle. Boum. Boum. Boum. C'était le seul bruit qui parvenait jusqu'à ses oreilles. Les pulsations bien trop fortes de son cœur. Celui là même qui envoyait valser son sang jusqu'à ses tempes avec une violence accrue. Comme si il tâchait de s'en débarrasser. Ses poings étaient serrés. Son regard dur. Il faisait noir tout autour de lui. Comme filtrés par son cerveau. Il se déplaçait dans un brouillard opaque et même respirer lui coûtait. La moindre bouffée d'air qu'il aspirait semblait irritante et presque âpre. Bordel. La seule chose dont il avait besoin maintenant, c'était d'une guitare. Et d'une feuille & un stylo. Une fois couchées sur du papier, ses émotions néfastes lui paraîtraient déjà plus belles. Ou déjà moins violentes, moins présentes. Moins importantes, aussi. Cameron ressentait ce besoin viscéral d'écriture. Il n'avait pas une imagination florissante et celle-ci l'empêchait de se plonger dans un roman, ou un réel travail littéraire. Mais son exutoire était absent, il allait devoir se calmer autrement. Certains choisissaient de se défouler par le sport, d'autres en étant violents et en reproduisant un affreux schéma infernal où il fallait faire souffrir autrui, parce qu'on souffrait. Cameron préférait le silence et la musique. Tout garder pour soi n'était pas des plus sains, sûrement.

Les couples, normaux finissaient toujours par se réconcilier sur l'oreiller - ou alors. Là, cependant, la réconciliation par le sexe ne semblait pas franchement au programme. A vrai dire, ils étaient ni normaux ni un couple. Au loin, Cameron voyait à peine ses yeux perlés de larmes, celles ci qui roulaient sur ses joues, translucides. Il avança rapidement vers elle. Il la saisit fermement par les épaules pour qu'elle se calme, et évite une scène en public. Normalement eux deux, s’étaient pour aller mieux. Et là, ce n'était pas le cas. Mais alors, pas le cas du tout. Ses yeux étaient fuyants et fixaient un point derrière Christinna, au lieu de la regarder elle. Pourtant sa pression sur ses frêles épaules ne relâchait pas.

CAMERON - « Je suis désolé pour tout à l'heure si c'est ce que tu veux entendre. Je ne sais pas ce qui m'a pris. J'ai agi comme un con. »

Il ne savait pas ce qu'il lui avait pris ? Mais quel menteur faisait-il. Son ton avait été laconique et empli d'un j'm'en foutiste total qui ne faisait normalement pas parti de lui. Il ne voulait pas la voir ainsi. Il était égoïste, calculateur, profiteur … Il aurait du la briser et passer à quelqu’un d’autre … et pourtant non il était là, devant elle. Cameron relâcha la pression sur les épaules de Christinna et finit par s’assoir à côté d’elle. Sa cigarette se consumait toute seule dans sa main, et il s'en fichait. Putain, elle semblait juste être une écorché vifs, une âme torturées qu'une simple bourrasque pouvait faire flancher, qu'une tempête pouvait détruire. Mais qu’est qui devenait ? En tant normal, il se serait enfui, il aurait couru loin avec un sourire au lèvres. Sa journée avait été bien trop éprouvante. Il ne pensait qu‘à s‘enfuir et s’allumer une énième cigarette et s'éloigna un peu dans la moiteur de la nuit. Le parc était immense, il trouverait sûrement un coin où se terrer jusqu'à la fin de cette journée qui s'annonçaient désastreuse. Et pourtant, il était toujours assis, à côté d’elle. Il avait en horreur toutes les sortes de déballages en public, tout ses excès de sentiment.

CAMERON - « Dis quelque chose. »
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Christinna Shepperd
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyDim 1 Nov - 15:03



La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] 6jh6j9 La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] Brooke14zq0

• L'amour
ce jeu stupide et dangereux... !




CAMERON - « Ta maîtrise de notre langue s’est améliorée, je crois. »

+ + + Elle ne l'écoutait déjà plus. Ces sarcasmes n'aurait plus jamais aucun effet sur elle. Elle ne l'écouterait plus, elle ne le verrait plus, il disparaitrait de sa vie aussi rapidement qu'il y était entrée, et elle fera comme si elle ne l'avait jamais connu. Elle ne voulait plus avoir à faire à lui. Elle n'aurait jamais du avoir à faire à lui. Elle n'aurait pas du jouer. Mais ce jeux était trop tentant, elle n'avait pas su résister, maintenant elle en payait le prix. Mais il n'était pas trop tard, elle pouvait tout lâcher, et tout oublier. Du moins elle l'espérait. Assise dans l'herbe, la tête poser dans le creux de ses bras croisés autours de ces genoux, elle essayait juste de se calmer, de reprendre le contrôle de la situation. Quel perte de temps, elle savait parfaitement qu'elle n'arriverait à rien. Elle n'avait pas d'exutoire, et ne pouvait pas faire passer sa souffrance à travers l'embouchure de la trompette, elle n'avait personne à coté d'elle capable de gérer ses crises. Mordant sa lèvre plus violemment encore pour s'empêcher de crier, les larmes roulaient maintenant sur ses joues, ses épaules étaient secouée par son hoquet régulier. Solitude. Solitude. Solitude.

Flash Back.

Aujourd'hui Christinna avait sept ans. La seule héritière de l'empire Shepperd avait sept ans aujourd'hui et personne n'était là pour le lui fêter. Elle atteignait l'âge de raison, l'âge ou l'on commence à comprendre, ou l'on commence à vouloir comprendre. Ce matin là, elle avait trouver la maison vide. Joliment habillé pour l'occasion, Christinna s'attendait à voir ses parents dans le salon, des cadeaux sur la table basse, le sourire aux lèvres, et un cadeau décorer des sept splendides bougies. Mais non la maison était vide. La table basse recouverte de paperasse incompréhensible pour une fillette de sept ans. Elle était resté figée devant le salon. Elle avait regarder la table basse les mains tremblantes, les yeux embués par les larmes. Elle avait sept ans, elle était seule, et ses parents l'avait oubliée.

C'était ce jour là qu'elle avait eu sa première crise. Elle s'en souvenait très bien. Elle était tombé à genoux et avait été prise d'une crise d'angoisse incontrôlable. Tremblante comme une feuille, elle suffoquait. Elle s'était rapproché de la table basse, c'était agrippée à elle, faisant volé tout les papiers qui se trouvaient dessus. Les larmes venaient tremper sa robe rouge. Sa respiration saccadée s'accélérait, elle ne parvenait même plus à reprendre de l'air, tout devenait flou autours d'elle, elle avait sept ans et déjà elle ne contrôlait plus sa douleur. Elle ne comprenait pas pourquoi ils l'avaient oubliée, pourquoi ils lui accordaient aussi peu d'importance. Dans sa panique, la réponse lui apparu clairement, elle n'était pas à la hauteur, elle ne les méritait pas. Pour se contrôler, pour essayer de reprendre son souffle, elle planta ses ongles longs et vernis dans sa peau. Elle voulait se concentrer sur la douleur qu'elle s'infligeait, pour oublier son angoisse. Mais rien n'y faisait, elle étouffait, sa vue était brouiller, et elle continuer de se griffer, se griffer jusqu'aux sang. Elle ne voyait plus les limites, tout mourrait autours d'elle, elle était seule.

Ce jour là, elle avait finit par s'évanouir, laissé inconsciente au milieu de son salon, le souffle cour, les traces de ses larmes sur ses jours, les avants bras égratigner sous l'effet de ses griffures. C'est sa nourrice qui la retrouva dans cette état quelque minute après. Peut être qu'elle l'aurait retrouver un peu plus tard les dégâts aurait pu être terrible, mais elle s'en était bien sortie. Elle n'avait que sept ans et sa solitude avait bien failli la faire mourir d'angoisse.

Fin Flash Back.


+ + + Depuis ce jour les crises n'avaient jamais cessé, et régulièrement elle était prise de ce genre de crise d'angoisse qui la mettait dans tout ces états. Elle commençait à suffoquer. Elle releva la tête, desserra les bras des ses genoux, et mis ses mains sur l'herbe, elle essayait d'ouvrir le plus possible sa cage thoracique pour reprendre son souffle. L'air qui passait lui faisait mal, elle plissait ses yeux de douleur laissant encore s'échapper des larmes, ses dents appuyèrent encore un peu plus sur sa lèvre la faisant encore saigner. Maudite solitude. Maudite soit-elle incapable de se contrôler. Soudain elle sentit quelqu'un la saisir fermement par les épaules. De surprise son cœur eu un raté lorsqu'elle compris que c'était Cameron qui était revenu derrière elle. Pourquoi était-il revenu ? Pourquoi ne l'avait-il pas laissé comme elle l'avait demandé ? Que pensait-il d'elle à ce moment là ?

CAMERON - « Je suis désolé pour tout à l'heure si c'est ce que tu veux entendre. Je ne sais pas ce qui m'a pris. J'ai agi comme un con. »

+ + + Ce désolé semblait sincère à Christinna, qui ne pouvait cependant pas en jurer. Doucement elle commença à ce calmer, sa respiration se calquant sur celle du jeune homme. L'air recommença à affluer normalement jusque dans ces poumons sans la faire souffrir. Elle revivait. Cameron avait fait passé la crise, sa présence avait suffit à la calmer. Chose étonnante, jusqu'alors seul Alana avait réussit à calmer la jeune femme connaissant parfaitement sa situation familiale. Comment Cameron cet abrutit doublé d'un con avait pu la calmer elle ? Lors que Cameron sentit que Christinna c'était calmé il relâcha la pression sur ses épaules et vint s'assoir à coté d'elle. Inconsciemment Christinna eu le réflexe de poser sa tête sur l'épaule du jeune homme. Elle sentait qu'elle avait besoin de sa présence pour ce calmer définitivement. Elle passa doucement sa main encore tremblante sur ses joues pour essuyer ses larmes, relâcha la pression de ses dents sur sa lèvres et passa son doigt sur sa lèvre meurtrit laissant apparaître une fine marque de sang sur le doigt.

+ + + Soudainement une fois qu'elle fut complètement calmer elle réalisa la position dans laquelle elle était, la tête appuyé sur l'épaule de Cameron. Cameron le jeune homme qu'elle ne voulait plus revoir quelques minutes plutôt. Cameron qui avait déclencher chez elle une énième crise d'angoisse. Cameron qui avait su maîtriser rien que par sa présence cette crise. Cameron, Cameron, Cameron. Elle ne devait pas rester près de lui. Il l'avait vu dans tout ces états, il connaissait non seulement la Christinna que tout le monde connaissait, la reine des glaces, mais maintenant il avait aussi vu la Christinna terriblement fragile et faible, et elle ne pouvait se résoudre à ça. Elle devait le faire fuir, trouver quelque chose pour qu'il ne revienne jamais vers elle. Soit le faire souffrir suffisamment pour qu'il la haïsse, ou alors lui faire peur. Elle ne devait pas se rapprocher de lui. Il était dangereux pour elle. Il pouvait la faire souffrir facilement. Et elle pouvait facilement s'attacher à lui. Aujourd'hui elle avait dépasser la limite. Elle avait tout dépasser. Du moment que c'était une relation purement sexuelle ça avait peu d'importance, mais maintenant qu'il l'avait vu en pleine crise, la limite avait été dépassé.

CAMERON - « Dis quelque chose. »

+ + + Cette phrase simple lui donna une idée. De quoi un dragueur invétéré et sans attache devait avoir le plus peur ? Des sentiments sans aucun doute, mais Christinna ne se résoudrait jamais à dire un je t'aime même si c'est que mensonge et destiner à faire fuir quelqu'un. Jamais elle ne s'abaisserait à dire de tel parole. Mais les enfants lui ferait sans doute tout autant peur. Quel dragueur voudrait se retrouver avec un enfant sur les bras qui le lirait pour l'éternité à cette conquête sans importance? D'ailleurs Christinna avait une peur bleu de se retrouver enceinte. Persuadé qu'elle ferait une aussi mauvaise mère qu'elle avait fait une mauvaise fille, elle n'imaginait même pas ce que ça serait d'être enceinte, c'était simplement inconcevable. Et puis de quoi elle aurait l'air, elle le monstre de glace avec un ventre arrondis et sujette au poussé d'hormone incontrôlable. Non définitivement les enfants étaient ce qui ferait le plus peur à Cameron, et qui serait le plus susceptible de le faire fuir loin d'elle. Elle avait depuis longtemps relever la tête,e t regardait maintenant droit devant elle. D'un souffle, sans aucune fioriture, aucune préparation. Elle le dit simplement d'un souffle, froidement.

CHRISTINNA - « Je suis enceinte. »

+ + + Le mensonge avait claqué dans l'air comme une guillotine s'abaissant sur la nuque de sa victime, sèche, sur d'elle. Elle aurait pu remercier Cameron d'être revenu, d'avoir réussit à la calmer, de lui avoir peut être éviter de s'évanouir. Mais non elle avait retrouvé son rôle de garce sans cœur, avec ses mensonges acérer et qui paraissait si réel. Car qui soupçonnerait en entendant la phrase tombé qu'elle mentait ? Personne sans doute, et c'était bien le but de la manœuvre.
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Cameron L. Scott

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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyLun 2 Nov - 1:54

« Il y a deux manières d'ignorer les choses : la première, c'est de les ignorer ; la seconde, c'est de les ignorer et de croire qu'on les sait. La seconde est pire que la première. »


CHRISTINNA - « Je suis enceinte. »

CAMERON - « P-pardon ? »

Vous connaissez cet effet ? Cette sensation que l'on a de penser que tout s'écroule autour de vous ? Le sentiment que le ressent au fond de vous même quand tout explose en vous, toute vos certitudes ? Plus rien n'existait pour Cameron ... Il n'y avait plus que lui. Lui et Christinna ! Lui et Christinna sans rien autour que les mots qu'elle venait de prononcer et qui se répercutaient inlassablement dans sa tête : « Je suis enceinte » L'effet d'une bombe ! Ce genre d'annonce qui fait angoisser la personne "accusée", qui fait disparaître toutes les certitude de ce jeune homme... Le jeune Scott était abasourdi, anéanti, ne souriait plus, ses yeux étaient vides d'expression. Il n'y avait plus cette malice pétillante dans le regard, elle avait laisser place à la peur, une peur-panique à l'idée d'être le responsable de cette grossesse prématurée, d'être le responsable de l'état de la jeune fille mais surtout une peur-panique d'être le père de cet enfant qui n'attendait qu'une chose : vivre ! Cameron ne pouvait y croire ! Non. Ce n’était pas possible. Il avait dû mal comprendre. Oui c’était ça, il n’avait pas compris. Son cerveau était stupide et avait mal interprété ce qu’elle lui avait dit. Ou alors c’était ses oreilles qui étaient défectueuses. Après tout, il s’approchait de la trentaine, vingt-deux ans, il se faisait vieux. Mais au fond de lui-même, il savait que ce n’était techniquement pas possible. Alors il se décida à accepter qu'elle était enceinte. Qu’elle avait un petit être au fond d’elle. Qu’ils étaient trois dans ce parc entrain de sombrer. Il la connaissait. Il croyait la connaître. Il ne la connaissait plus. L’avait-il vraiment connue ?


CAMERON- « Tout le monde t‘es passé dessus »

Le jeune Scott ricana pour se donner une contenance mais au fond de lui même un doute naissait en lui. Une toute petite question s'immisçait et se répétait dans son esprit : et si c'était lui le père ? Se torturant l'esprit, il ne cessait de repenser à toutes ses nuits, ces merveilleuses nuits passée avec Christinna, il ressentait ses caresses sur son torse, ses baisers sur sa bouche... C'était comme s'il revivait ces nuits. Aucun faux pas, à priori, mais le nombres de fois ou ils l’ont fait peut être que … Il ne pouvait s’empêcher de se demander si ils n'avaient pas oublié quelque chose. Après tout, Miss Shepherd n'a rien de la Ste Vierge, elle est tout le contraire ! Le jeune homme s'approcha de la future maman et s'assit en face d'elle, inquiet.

CAMERON- « Christinna ? Tu n'es pas sérieuse ? C-ce n'est pas moi le père de l'enfant, n'est-ce pas ? Tu me fais marcher ? »

Il observait une quelconque réaction de la future mère. Il ne s'était jamais vraiment intéressé à elle, il remarquait seulement à cet instant comment elle était mignonne, craquante avec son petit air blasé. On dirait un petit chiot perdu dans ce monde de fous. Elle était enceinte et c'était peut-être sa faute ! Et il entendait à répétition ses paroles : « Je suis enceinte, je suis enceinte, je suis … ». Non. Non ! L’annonce de la jeune fille avait eu l’effet d’une bombe sur le … père potentiel qui semblait totalement abasourdi, anéanti. Tout se mélangeait dans sa tête alors qu'il cherchait au plus profond des yeux de Christinna si elle disait la vérité. Père ! Il allait peut-être être père, lui, à vingt-deux ans, et l'inquiétude allait bientôt céder sa place à la panique. Comment expliquerait-il cela à sa famille ? Ses parents le renieraient, pour un peu il y aurait un conseil de famille pour juger s'il était encore possible ou non qu'il ose les approcher... Il allait être rejeté à cause de cette traîné ! Elle n'avait cesser de coucher avec le premier garçon qu'elle croisait et il fallait que lui, Cameron Lucas Scott, se retrouve sur la liste des pères potentiels de ce petit bâtard ! Le jeune homme toisa la jeune fille de son air froid et méprisant. Elle n'avait que ce qu'elle méritait après tout ! Son comportement, son attitude était totalement immorale et indigne du respect et de l'intégrité qu'une jeune fille devait avoir d'elle. Au début, Cameron avait vu en Christinna une conquête supplémentaire, une fille en plus à son tableau de chasse, une nouvelle médaille à son palmarès. Quoi que... La future maman n'était pas en soi un défi, elle se laissait aller avec n'importe qui... Les adolescents s'étaient bien amusés pendant leurs fameuse nuit mais c'est tout... Rien de plus ! Avec le recul, et au vu de l'actuelle situation, Cameron ne riait plus. Vous connaissez cette impression, quand vous montez les escaliers dans le noir, et, alors qu’il n’y a plus de marche, vous en cherchez une. Vous avez l’impression de tomber dans le vide. Ou dans un looping , par exemple. L’impression que vous allez tomber, sans fin, et ne jamais vous relever. Que c’était la fin. Que vous alliez mourir, mais avec cette sensation de perte au niveau de vos tripes. Et bien là, c’était exactement la même chose. Tout s’écroulait autour de Cameron. Jamais il n’avait envisagé ça. Non, jamais. Putain. Un air grave sur le visage, avec tout le sérieux qu'on ne lui connaissait que trop rarement, il inspira profondément et...


CAMERON - « Bon... On se calme...Vu que tu prenais tant de plaisir à coucher avec n'importe qui - non pas que moi, je suis n'importe qui- mais je suppose ainsi que je ne suis pas le seul, je me trompe ?

Cameron ne savait pas comment réagir face à la jeune maman. Il était extrêmement énervé mais, au fond de lui, et inexplicablement, il pensait que s’était beaucoup plus dégradant d'avoir son comportement que le sien ! Et s’était la seule chose qui pouvait encore lui remonté le moral. Il était heureux d’être un homme et ceux pour plusieurs raison. D’abord, s’épiler les jambes, se faire le bikini et les aisselles, et le tout assez souvent, ne lui plairait guère. Ensuite, avoir les menstruations une fois par mois lui semblait vraiment désagréable, et rien qu’à voir la gente féminines dans leurs symptômes prémenstruels, il savait que ce n’était pas quelque chose de chouette. Finalement, la grossesse. Tomber enceinte. Évidemment, une bonne partie des mamans sont contentes de l’être et l’ont voulu. Par contre, une autre partie ne désire pas toujours d’un bébé dans leurs bras. Puis il devait avouer que la façon de le découvrir manquait un peu de classe – pisser sur un bâton de plastique était vraiment étrange. Cameron ne quitta pas les yeux de la Miss Christinna et posa sa main sur la sienne. Non pas en un geste tendre, juste...un geste qui annoncer rien de bon.

CAMERON - « Avorte car je ne serais jamais là ni pour toi ni pour ce... ton... bat-Enfant »

Il s’était rattrapé de justesse avant que le mot claque : Batard. Il n’avait jamais été doué avec les contacts humains, les mots à dire et à ne pas dire. Et encore une fois il le prouvé.
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Christinna Shepperd
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyLun 2 Nov - 15:24



• Je ne suis qu'apparence...
J'ai une apparence de garce. Je suis une garce !




CAMERON - « P-pardon ? »

+ + + Si Christinna ne se devait pas de garder son sérieux pour maintenir la mascarade d'actualité, elle aurait sans doute laisser éclater un sourire sans limite. Aujourd'hui elle prenait sa revanche pour toutes les fois ou Cameron l'avait fait marcher, ou il avait jouer avec sans aucun état d'âme. Et cette fois son jeu dépassait de loin les limites des siens. En quelques mots, quelques gestes Cameron avait réussit à faire renaître Christinna, qui était plus garce que jamais. Il avait hésiter à la détruire, elle le connaissait assez bien pour s'en douter, elle n'hésiterait pas, il aurait la peur de sa vie, il serait ce que c'est de voir son monde s'écrouler, et de penser qu'on perd tout ce qu'on a. Il le serait comme elle le savait depuis bien trop longtemps. Christinna jubilait intérieurement, elle n'avait sans doute jamais été aussi bien. Si elle avait été vraiment enceinte la situation aurait été différente, elle aurait eu peur avec lui, elle aurait encaissé toutes ses paroles en plein cœur. Mais la situation était bien différente, Christinna n'était pas enceinte et se foutait de la gueule de Cameron à merveille. Plus jamais il ne la ferait souffrir. A partir d'aujourd'hui il l'a connaîtrait sous tous les angles, les pires comme les meilleurs, et il n'oserait plus s'attaquer à elle. Christinna est une femme extrême. Une femme qui n'a pas peur de la mort depuis qu'elle a failli la perdre lorsqu'elle avait sept ans. Pour Cameron elle redeviendrait intouchable. Elle se le promettait, il ne la remettrait jamais dans un tel état. Plus jamais elle ne ferait de crise d'angoisse par sa faute.

CAMERON- « Tout le monde t‘es passé dessus »


+ + + Christinna tourna vivement son regard vers le jeune homme. « tout le monde t'es passé dessus. » Cette phrase, ce rire montrait bien ce que pensait Cameron d'elle. Une pauvre fille facile qui passait sous tout le monde. Premièrement la plus part du temps c'était elle au dessus, et qui prenait les commande, mais elle n'était pas obligé de le dire, car la phrase « je suis passée au dessus de tout le monde. » ne le ferait pas vraiment mieux que l'autre. Mais deuxièmement Cameron était terriblement loin de la réalité. Christinna n'était pas une Marie couche toi là, oui elle profitait des plaisirs du sexe parfois avec excès. Mais tous les hommes qui rêvait de l'avoir dans son lit ne pouvait pas s'en vanter. La belle était sélective, les hommes étaient des proies pour elle, et elle ne se laissait pas aller avec n'importe qui. Ils étaient toujours choisi avec soin. Alors fille facile non merci pas elle. Si elle agissait comme ça c'était simplement qu'elle n'avait rien d'autre de mieux à faire, personne dont elle pouvait s'occuper. Donné lui un joue joue plus intéressant, et elle pourrait se tenir à carreau bien plus que n'importe lequel des mecs en rut qui parcours les bars tous les soirs à la recherche de n'importe laquelle des filles potables.

CHRISTINNA- « Pense ce que tu veux pour te rassurer, mais je ne suis pas une fille facile. Si j'en étais une les mecs ne se valoriserait pas autant de m'avoir eu, si on peut dire qu'ils m'ont eu et que ce n'est pas le contraire. Tu le sais très bien, ne fait pas semblant de l'ignorer pour te rassurer. »


+ + + En y réfléchissant elle lui préparait un coup bien pire. Car il avait raison, qu'elle était la probabilité que ça soit lui et pas un autre ? Il n'avait jamais été le seul dans la vie de Christinna, et sans doute il ne le serait jamais. Mais sans être le seul il avait été le plus présent. Elle ne comptait plus les nuits passer avec lui depuis qu'elle était arrivé à Prague. Si elle avait été réellement enceinte sans doute qu'il y aurait eu beaucoup plus de chance que ça soit lui plutôt qu'un autre. Seulement la pilule serait sans doute la dernière chose que Christinna oublierait de prendre. Comme Cameron l'idée d'être enceinte la terrorisait et il était hors de question qu'elle prenne se risque. Mais bon faire croire à un homme qu'on avait fait une erreur était bien simple, surtout lorsqu'on possède les talents de comédienne de Christinna.

CAMERON- « Christinna ? Tu n'es pas sérieuse ? C-ce n'est pas moi le père de l'enfant, n'est-ce pas ? Tu me fais marcher ? »

+ + + « Tu me fais marcher? » Complètement, mais ça elle n'allait pas lui dire. Il s'était assis en face d'elle, l'air inquiet et Christinna ne s'autorisait plus aucun regard satisfait. Non elle avait maintenant un regard triste, apeuré. Oui elle avait l'air d'une pauvre fille de 17 ans qui vient d'apprendre qu'elle est enceinte et qui est terroriser, désespérer. Elle jouait à merveille ce rôle. Elle le regarda dans les yeux, et dit d'une voix tremblante.

CHRISTINNA- « J'ai une tête à te faire marcher ? Bien sur je me fou de ta gueule, je trouve ça super drôle d'être enceinte, d'ailleurs je n'attendais que ça pour gâcher encore plus ma vie. Contrairement à ce que tu penses, il m'arrive d'être sérieuse, il m'arrive d'avoir peur. Et réjouit toi, contrairement à moi tu peux douter, tu peux toujours esperer que ça ne soit pas toi le père et que je sois une telle garce que ça sera un autre mec dont je ne connais sans doute pas le nom qui héritera de la plaie. Mais moi quoique je pense, il sera toujours là. »

+ + + En disant ça, elle plaça la main sur son ventre, baissant en même temps les yeux vers se ventre parfaitement plat et qui le resterait sans doute encore longtemps. Mais ça encore Cameron ne le savait pas, et c'était tant mieux. Elle ne pouvait s'empêcher de penser que ce n'était pas un sujet sur lequel on pouvait plaisanter et que le jour ou ça lui arriverait vraiment elle serait au moins aussi paniqué que lui, voir même encore plus. Pourtant elle atteignait un âge ou avoir des enfants était normal. Même si maintenant la plus part des mère avait leur premier enfant à 29 ou 30 ans, à 24 ans on ne pouvait pas considéré ça comme une tare, mais plutôt comme un joyeux événement. Enfin peut être pas lorsqu'on est une fille comme Christinna, avec une famille sur qui elle ne peut pas compter, peu d'ami, et des ennemis qui en profiteraient surement. Heureusement que tout cela n'était qu'une mascarade. En le regardant dans les yeux sa haine pour lui grandit. Pendant quelque instant elle avait douté, elle avait peut être pensé qu'elle allait trop loin et qu'elle ne méritait pas ça. Mais en croisant son regard, elle changea d'avis. Son regard froid du parfait crétin qui n'assumerait jamais ces actes et qui la prendrait comme seule fautive il allait se le prendre en pleine face. Pourquoi donc ça serait à chaque fois la faute des femmes. A priori il faut bien être deux pour faire ce genre de connerie, et s'il lui remettait la faute dessus parce qu'elle couchait avec beaucoup de monde, combien de fille pouvait-il avoir mis enceinte ? Un paquet sans aucun doute, alors il ferait mieux de fermer son clapet. Il pensait si fort ces horreurs au sujet de Christinna qu'elle arrivait presque à les entendre, ou du moins elle les lisaient dans ses yeux. Souvent Cameron avait pu se vanter d'être insondable pour la belle, mais à ce moment précis ce n'était pas le cas, elle pouvait presque lire en lui comme dans un livre ouvert, peut être parce qu'il était aussi prévisible que tous les hommes.

CAMERON - « Bon... On se calme...Vu que tu prenais tant de plaisir à coucher avec n'importe qui - non pas que moi, je suis n'importe qui- mais je suppose ainsi que je ne suis pas le seul, je me trompe ? »

+ + + Il n'avait pas tord, mais bon elle pouvait toujours lui faire croire le contraire. Même si ça impliquait de passer pour une fille obsédé par lui ce qui la rebutait un peu, elle passerait outre, après tout tout ceci n'était que mascarade et canular. Elle fit un air outrer en entendant la phrase de son amant avant de lui décocher une gifle qui semblait sortir de nulle part. La gifle claqua, et elle rapporta tout de suite la main vers sa bouche, faisant ainsi croire qu'elle était partie toute seule, et cela contre sa volonté.

CHRISTINNA - « Crétin ! Tu es aveugle ma parole. J'y arrive plus. Tous les autres hommes me paraissaient si... Ça fait plusieurs semaine que je n'ai pas coucher avec n'importe qui comme tu le dis si bien... J'ai beau dire ce que je veux, que je ne suis et ne serais jamais la femme d'un seul homme, je... Je t'ai dans la peau. Je t'ai en moi... »

+ + + A gerber. Elle craignait sincèrement de ne pas avoir été assez convaincante. Elle avait tout de même saisit la main de Cameron pour la placer sur son ventre. Mais malgré cela, elle n'en restait pas moins très peu doué dans tout ce qui est déclaration d'amour. Enfin très peu doué, c'était même un bel euphémisme. Elle ne supportait pas cette excès de romantisme, ces clichés complètement niais la faisait vomir. Oui ce qu'elle venait de dire était à vomir, et sans doute il pourrait se foutre de sa gueule pendant mille ans avec ça. « Je t'ai dans la peau... » Elle aurait dit je t'aime qu'elle aurait même pas été sur que ça fut pire. En même temps même si elle l'avait presque dans la peau, puisqu'elle le gardait près d'elle au lieu de l'avoir éjecté après la première nuit, ça ne l'avait jamais empêcher d'aller voir d'autres hommes, loin de là.

CAMERON - « Avorte car je ne serais jamais là ni pour toi ni pour ce... ton... bat-Enfant »

CHRISTINNA - « Je ne m'attendais à rien de plus venant de toi. Tu es si lâche, si stupide, un réel salaud. Tu te permet de penser les pires trucs sur moi, mais tu ne te regardes même pas en face. J'assume mes erreurs, au moins. Et non seulement je n'avorterais pas, mais j'espère sincèrement qu'il n'héritera pas de ton coté crétin et lâche... »

+ + + Hallucinant elle était entrain de ce la jouer fille modèle qui avait une révélation, et qui ne laisserait jamais tombé son enfant. Remarque, elle c'était toujours promis qu'elle n'avorterait jamais, c'était quelque chose qui la dégoutait, et elle connaissait suffisamment les conséquences que cette actes avaient sur le mental des patientes pour ne pas vouloir s'ajouter encore plus de souffrance. Bien qu'elle serait toujours persuadé de faire une mère terrible, jamais elle n'avorterait, si elle était enceinte. Elle se rapprocha de lui, et passa doucement sa main sur la joue de Cameron, comme une caresse.

CHRISTINNA - « Mais sache aussi que je ne laisserais jamais mon enfant, ou mon bâtard comme tu l'as penser si fort, ne pas connaître son père. Il le connaîtra, il connaîtra ses grands parents. Tes parents seront toute la vérité. Ils seront comment tu as traité cet enfant. Je serais retourner les gens contre toi. Toi qui l'aura abandonné... »

+ + + Elle était une véritable garce. Elle lui promettait de ruiner sa vie sans aucun scrupule, et elle en serait surement capable. Menteuse et comédienne hors pair elle manipulerait tout son monde si elle le voulait. Sauf que bien sur ce n'était que des menaces en l'air puisqu'elle n'aurait jamais cet enfant. Restait à savoir comment elle lui dirait qu'elle c'est foutue de sa gueule, car là elle était aller un peu trop loin pour simplement dire qu'elle lui avait mentit, et tout ça juste pour se venger... Si elle faisait ça, il la haïrait éternellement. En même temps c'était peut être ce qu'elle recherchait. Ou alors elle ferait croire à une fausse couche. La jeune femme vivait tellement dans l'excès que sa passerait comme une lettre à la poste. A voir. De toute façon elle venait de ruiner toute leur relation en disant ce mensonge, et c'était exactement ce qu'elle avait chercher, il ne devait plus s'approcher d'elle. Elle était haïssable. Elle était manipulatrice, et n'avait aucune moral. Elle avait un cœur en or, il fallait seulement le chercher, et elle savait parfaitement que Cameron ne méritait pas qu'elle lui montre ce qu'elle était vraiment. Alors pour lui elle resterait cette personne haïssable, même si elle même la haïssait.
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Cameron L. Scott

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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyLun 2 Nov - 21:07

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« il y a un adage qui dit qu'on fait du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal »


CHRISTINNA- « J'ai une tête à te faire marcher ? Bien sur je me fou de ta gueule, je trouve ça super drôle d'être enceinte, d'ailleurs je n'attendais que ça pour gâcher encore plus ma vie. Contrairement à ce que tu penses, il m'arrive d'être sérieuse, il m'arrive d'avoir peur. Et réjouit toi, contrairement à moi tu peux douter, tu peux toujours espérer que ça ne soit pas toi le père et que je sois une telle garce que ça sera un autre mec dont je ne connais sans doute pas le nom qui héritera de la plaie. Mais moi quoique je pense, il sera toujours là. »

Il se sentit soudain écrasé par le silence. Elle avait parler, elle l’avait anéanti. Un énorme, gigantesque poids se saisit de son cœur et le broya gentiment. Son pressentiment l'oppressa à un tel point qu'il eut envie de vomir. Il pouvait être le père. Une petite crevette appelée Scott. Une envie de pouponner Cameron ? Oh non, ne voyez pas là l'adoration qu'ont les futurs papas gâteux quand ils apprennent que leur femme est enceinte et qu'ils commencent à parler au ventre de ces dernières ... Loin de là ! Pendant quelques secondes, il crut sincèrement que son cœur avait lâché. Puis brusquement, il se remit à battre avec une telle force qu'il faillit lui crever la poitrine. Comme un pauvre drogué en manque, Cameron se prit la tête entre les mains et se frotta le visage. Son envie de vomir était loin d'avoir disparue, mais c'était plus ou moins muée en une envie de hurler, de courir, de frapper, de bouger. Pourtant, il resta assis, la tête dans les mains. Car il savait que s'il se levait à cet instant, il allait se mettre à pleurer. Il resta un instant immobile et silencieux, laissant le vent combler le vide. Cameron faisait un effort, un effort géant, tentant de prendre sur lui tout ce qu'il ressentait à cet instant, et de faire face à Christinna. Il releva enfin la tête, et dévisagea la jeune fille.

CAMERON- « Et quand est-ce que tu vas savoir qui est le père ? »

Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c'est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n'avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d'un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu'un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. Il était la victime, le corps engloutit par le porc. Elle, elle l’avait découpé en morceau et jeté à la boue au cochon. Il voulait juste oublier. Mais le problème avec le passé c’est qu’il sera toujours derrière nous. L'aimer ou le redouter ne change pas spécialement la donne puisque d'un côté il nous rend mélancolique étant donné qu'il évoque de meilleurs souvenirs et de l'autre, il nous poursuit, nous chasse comme du gibier : nous en avons honte. (en gros : les deux riment avec souffrance). On aura beau dire « tiens-donc ! on a qu'à oublier ! » mais l'amnésie ne s'acquiert pas aussi facilement qu'on ne le pense. De plus, les proches, eux, garderont en mémoires vos antécédents désastreux ou admirable. Impossible de recommencer à zéro me diriez vous ? De créer de nouvelles bases ? Si... mais on tiendra toujours compte du passé pour l'utopie qu'on s'apprête à créer voir recréer. Le problème lorsqu'on veut « oublier », redémarrer, passer à autre chose, c'est pas simple même avec la motivation. Puisque l'envie présente ne sera pas favorable à toutes les demandes. Le hic dans tout ça ? c'est que pour reconstruire il faut détruire voir anéantir. Et les sentiments humains sont impulsifs par rapports aux feuilles que l'on déchire. Et il ne souhaiterais qu’être réincarné en magnétoscope VHS pour pouvoir effacer ces images qui le hantent. L'envie; zéro. Les rires; appauvris. Les clopes; trop nombreuses. L'alcool; constamment présent. Sommeil; zéro. Les joints; oublions. Musique; déprimante. Film; trop psychédéliques. Souvenirs; oppressants. Rêve; mort. Poumons; noirs. Joie; réduite. Motivation; zéro. Utopie; imparfaite. Espoirs; bâclés. Réalisme; pétrifiant. Mémoire; vidée. Couleur des yeux d'un alcoolique; vert-bouteille toujours. La cigarette ne lui suffit plus, il voulait juste une bouteille d’alcool.

CAMERON - « Mais bon, ça devait bien arriver un jour, non, que tu sois enceinte »

On avait toujours dit à notre chère gueule d'ange qu'une femme enceinte bourrée d'hormones en dérangement était dangereuse, surtout en colère, mais Cameron n'en avait jamais tenu rigueur. Face à la Shepperd, pourtant, il faisait les frais de ces excès d'humeur avec une bonne gifle. Mais si sa propre douleur était difficile à supporter, il ne pouvait qu'imaginer celle de Christinna. Alors si elle voulait le gifle, le frapper, elle pouvait. Après tout, c'était elle, et seulement elle, qui aurait à supporter l'accouchement, et qui devait déjà supporter le poids du bébé tous les jours. Porter un enfant dans son ventre pendant 9 mois, puis l'élever pendant près de 18ans. C'était impressionnant. Et c’était a elle d’avoir peur. Non à lui. À cette idée, Cameron se sentit écrasé par une nouvelle vague de sentiment, bien différente de la première. Il mit un moment à comprendre que la culpabilité le rongeait. Dès qu'il l'eut fait, il posa un regard différent sur la jeune femme. Un regard plus doux, presque tendre.

CHRISTINNA - « Crétin ! Tu es aveugle ma parole. J'y arrive plus. Tous les autres hommes me paraissaient si... Ça fait plusieurs semaine que je n'ai pas coucher avec n'importe qui comme tu le dis si bien... J'ai beau dire ce que je veux, que je ne suis et ne serais jamais la femme d'un seul homme, je... Je t'ai dans la peau. Je t'ai en moi... »

Je ne comprendrais jamais la dépendance psychologique. Non pas qu'elle soit invraisemblable, je dirais qu'elle est plutôt illogique. C'est simple : on se lasse de tout, on ressent constamment un besoin d'innovation, de plaisirs diversifiés. On ne peut être éternellement accroc à une chose/quelqu'un. Sauf s'il innove, qu'il ne reste pas identique, qu'il évolue au point d'en perdre de sa personnalité, de son charme. Tout ce qu'on trouvait beau devient banal par l'habitude. Toute nourriture que l'on apprécie devient écœurante à forte dose. Tout amour paraît lourd lorsque le temps s'installe. Les gens, les amis, les potes, la famille, on se désintéresse de tout ce qu'on a l'habitude de trop côtoyer, de connaître par cœur. On change de trop. Et il voulait l’oublier, se lasser d’elle, il voulait la trouver banal. Non, il n’était pas amour. Il est vraiment trop matérialiste dénué de « sentiment » pour cela. Juste, elle avait ce plus qui lui permettait de reste plus d’une nuit avec lui. « Je t’ai en toi ». Elle était ou Christinna. La fille forte qui n’avait de personne pour se relevée. La personne qui recherche la perfection chez les autres. Elle est le contre-productif : aime dormir le jour, faire la fête la nuit. Aime agacer car elle est complètement détaché du monde qui l’entoure, une sphère totalement déconnectée de la réalité. Alors les « Je t’ai en toi » ce n’était pas son genre.

CHRISTINNA - « Mais sache aussi que je ne laisserais jamais mon enfant, ou mon bâtard comme tu l'as penser si fort, ne pas connaître son père. Il le connaîtra, il connaîtra ses grands parents. Tes parents seront toute la vérité. Ils seront comment tu as traité cet enfant. Je serais retourner les gens contre toi. Toi qui l'aura abandonné... »

Quand vous n'avez plus le cœur à parler, pensez et vous exploserez à petit feu comme cette goutte qui fait déborder le vase. Stagnez et oubliez d'avancer. Souffrez et fermez les yeux. Gardez tout pour vous, sinon ce n'est pas du jeu. L'espoir vous fera sombrer davantage, les crises monteront. Vous manquerez d'oxygène, vous tremblerez sans comprendre, votre foi criera et vous rigolerez. Ce rire désarmant, empli de tristesse et de crainte. Vous suffoquerez ; et là ; là, ce sera la fin. Et lui, il rigolait à gorge déployé. Elle mentait. Putain. Elle était enceinte. Sa main toujours sur son ventre, il voulait la frapper. Ou pas. Non c’est sa fin. Elle lui avait mentie : ni enceinte ni … « Je t’ai en toi ». Trop fière, trop égoïste : les je t’aime ce n’est pas pour lui. L’alcool rend con. Oui mais ce qui rend plus con ce sont ses paroles.

CAMERON - « Tu veux me briser ? Me détruire ? Mais vas y Miss Christinna Shepperd, je t’en pris. Nous deux, connaissons très bien la Vérité. Ne m’obligez pas à la dire à haute voix, my Queen.»

Le titre dit avec tant de suffisance, son vouvoiement soudain et son rire sec n’était fait que pour ses paroles qu’il cracha puissent agirent comme de l’acide. Et pourtant.
Vous pouvez choisir de blâmer les circonstances du destin, de la malchance et/ou des mauvais choix, ou vous pouvez résister. Tout ne sera pas toujours juste dans le monde. C'est comme ça. Mais la plupart du temps, on reçoit ce que l'on donne. Le reste de votre vie se forme maintenant avec les rêves que vous avez choisi les choix que vous avez fait et la personne que vous décidez d'être. Il avez décidez de devenir : Cameron Lucas Scott, un crétin doubler d'un con.
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyMar 3 Nov - 17:09



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• Le mensonge n'en est un
que lorsque l'autre se rend compte que ce n'est pas la vérité !



+ + + Silence. On tourne. La scène pourrait facilement faire penser à une adaptation cinématographique d'un navet pseudo romantique ou les deux héros au cœur insensible finissaient après de nombreux obstacles par se rendre compte de leur amour réciproque et acceptaient enfin de le vivre au grand jour et en toute honnêteté. Dans ce navet, cette scène ferait penser au moment ou l'héroïne après de successive coucherie d'un soir avec le héros se rend compte qu'elle est enceinte, et voit derrière le visage détruit de son amant leur vie respective s'écrouler. Oui dans un film cette scène donnerait surement un truc dans le genre. Quelque chose de bien niais qui respirerait l'amour à des kilomètres. Mais on était pas dans un film, aucun des deux n'avouerait jamais son amour, si encore ils étaient capable de tomber amoureux, et bien que leur relation ne soit que de successive coucherie d'un soir, l'héroïne mentait sur son état de femme enceinte pour faire enrager son amant. La seule ressemblance que l'on pourrait trouver entre la réalité et le film est cette vision d'horreur, ou la jeune femme voit derrière le visage détruit de son amant leur vie respective s'écrouler. Car à cet instant présent, dans ce silence de mort, le visage de Cameron se décomposait petit à petit. Il était anéantit, et Christinna malgré tous les efforts qu'elle faisait pour ne pas être toucher par cette vision, ne put s'empêcher de le remarquer, de l'assimiler et d'en ressentir une culpabilité cuisante. Elle avait mentit pour le faire souffrir, mais elle pensait seulement que ça l'énerverait un bon coup, qu'il hurlerait, qu'il refuserait d'y croire. Elle ne pensait pas aller si loin, elle ne pensait pas le faire souffrir autant, ce n'était pas ce qu'elle avait vraiment chercher, enfin pas consciemment. Elle était trop impulsive, elle agissait souvent suivant ses émotions, et n'hésitait pas une seule seconde lorsqu'il s'agissait de vengeance et de manipulation, seulement à force de ne pas hésiter et de si bien jouer la comédie on se retrouvait souvent seul face à la culpabilité, se rendant compte que la limite avait été largement dépassé. Car oui, Christinna ne faisait pas attention aux limites, ce mot ne faisait même pas partie de son vocabulaire,et pourtant lorsqu'elle les dépassait elle ne pouvait s'empêcher de ressentir cette cuisante culpabilité.

CAMERON- « Et quand est-ce que tu vas savoir qui est le père ? »

+ + + Christinna était une femme forte, elle n'avait jamais eu de problème pour soutenir le regard de quiconque. C'était même l'une de ses activités préféré, briser quelqu'un par le regard était tout simplement jouissif. Mais là, le regard de Cameron avait plutôt tendance à la briser elle. Il lui recrachait encore sans le savoir toute sa culpabilité à la figure. Jusqu'où leur haine les mènerait ? Quel crasse serait-il encore capable d'inventer pour faire souffrir l'autre ? Celle de Christinna l'avait déjà mener trop loin. Certes tous les coups était permis, surtout dans ce monde de fou, mais le fait d'être enceinte était tout de même quelque chose avec lequel on ne devait pas jouer. Un peu comme les sentiments d'ailleurs. Pourtant Christinna ne se souvenait pas avoir ressentit une quelconque culpabilité en jouant avec les sentiments d'autrui. Peut être parce qu'elle ne s'était jamais vraiment attaché à sa « victime ». Entre la haine et l'amour il n'y a qu'un pas. Et Cameron et Christinna était sans aucun doute aussi loin de la haine que loin de l'amour. Ils étaient un étrange mélange incompréhensible, où pour se protéger ils s'envoyaient des bâtons dans les pieds, et où finalement ils avaient un minimum besoin de l'autre puisqu'ils revenaient toujours l'un vers l'autre. Enfin pour le moment, car sans doute que le mensonge changerait un peu la donne. Elle ne répondit même pas à la question de Cameron, de toute façon elle n'en savait strictement rien, ce n'était pas comme si elle avait été passé une échographie et qu'elle avait posé la question.

CAMERON - « Mais bon, ça devait bien arriver un jour, non, que tu sois enceinte »

+ + + Il en avait d'autre des trucs comme ça à dire ? Elle devait avoué que la peur et tout le bazars ne le rendait pas particulièrement loquace. Bien sur qu'un jour elle aurait sans doute été enceinte. Si elle n'avait toujours pas trouver de mari d'ici là, ses parents lui trouveraient sans aucun doute un bon parti qui ne ferait pas honte à la famille, riche, jeune et beau, à l'image de Christinna et de tout l'empire des Shepperd. Christinna l'épouserait non pas par amour, mais par obligation pour tenir bonne figure comme elle le faisait depuis 24 ans. Sans doute à ce moment là il aurait des enfants, au moins un. De beaux enfants pour continuer l'empire des Shepperd et des je ne sais quel autre grande famille. Christinna n'aimerait pas son mari, elle aurait d'ailleurs des amants, mais elle aimerait ses enfants. Elle fera d'eux son remède contre la solitude, elle les rendra fort, généreux, aimant et surtout respecté. Elle les protègera plus que sa propre vie. Oui sans doute un jour sa vie se déroulerait de la sorte. Mais ça serait seulement dans quelques années, lorsque ses parents en auront marre de savoir qu'elle couche avec tout les beaux partie de New York sans jamais ce poser. Mais pour le moment elle était encore complètement libre, et n'avait pas besoin de se soucier ni d'enfant, ni de petit ami et encore moins de mari. Et heureusement. Le regard doux de Cameron se planta comme une lame aiguisé dans son cœur. Il ne pouvait pas se mettre à la comprendre, il ne pouvait pas. Pas alors qu'elle mentait effrontément.

+ + + Heureusement, ou pas. Après la réplique stupide, et totalement improbable ou Christinna lançait son « tu es en moi... ». Elle vit le regard d'étonnement de Cameron. Il ne la croirait jamais. Pas sur ça. Ce n'était pas elle, elle ne pouvait pas être amoureuse de lui, et elle pouvait encore moins le dire. S'ils se ressemblaient sur quelques choses c'était bien sur leur conception de l'amour. Un amour qui n'existe pas éternellement, où l'on finit toujours par s'ennuyer ou par se perdre. Alors il était évident que toutes les phrases d'amour que Christinna pouvait prononcer ne serait pas crédible surtout qu'elle lui arrachait la bouche à chaque fois qu'elle les disait, et qu'elle faisait peut être même un grimace après les avoir prononcer... Il avait compris qu'elle mentait, en même temps la belle brune avait trouvé surprenant de la part de Cameron qu'il ne l'ait pas compris plus tôt. Elle avait eu peur qu'il ne rentre jamais dans la mascarade, et non seulement il y était entrer, mais il l'avait attiser, attiser jusqu'au point de non retour ou la moindre gourde révèle tout le château de carte. Jamais elle aurait du évoqué ses sentiments. Elle ne savait pas feindre ses sentiments, enfin pas devant lui, il l'a connaissait trop de ce coté là. Le rire de Cameron là fit sursauter. Elle sentait dans son rire qu'il avait compris, elle sentait toute la pression accumulé s'évaporer soudainement. D'ailleurs se rire fit instantanément envolé toute la culpabilité de la jeune fille. Il y a quelques secondes elle aurait été prête à s'excuser du lui avoir mentit sur ça, mais maintenant avec le regard qui lui lançait, tout c'était envolé et elle voudrait vraiment le broyé, si c'était dans ces capacités.

CAMERON - « Tu veux me briser ? Me détruire ? Mais vas y Miss Christinna Shepperd, je t’en pris. Nous deux, connaissons très bien la Vérité. Ne m’obligez pas à la dire à haute voix, my Queen.»

+ + + Le vous de la dernière phrase tira une grimace à Christinna, qui laissa après échapper un sourire malicieux. Elle se rapprocha sensuellement de lui, vu qu'il était assis face à elle, et s'approcha de son oreille avant de lui susurrer.

CHRISTINNA - « Bravo mon ange, j'ai bien faillit désespérer et croire que tu ne comprendrais jamais... »

+ + + Elle lui donna une forte impulsion sur son torse pour le faire tomber, et se remit à califourchon sur lui. Elle voulait l'énerver, souffler le chaud et le froid, le détruire, le séduire, c'était sans doute la bonne tactique, mais avec lui on était sur de rien, il pouvait être assez déstabilisant lorsqu'il le voulait.

CHRISTINNA - « Je ne suis pas une fille facile. Je ne suis pas stupide au point de ne pas prendre toutes les précaution pour ne pas tomber enceinte. Et jamais je ne m'attacherais à un homme, mais ça tu l'as compris tout seul. Quand au faite de te briser. Tu ne m'en voudras pas, tu rêve de faire la même chose. »

+ + + Sur ce elle s'approcha de lui, rapprocha sa tête de la sienne, effleura ses lèvres, lui mordilla la lèvre inférieur, puis s'écarta, lui donna une tape sur le torse avant de se lever, et de lui tourner le dos. Elle se retourna lui envoyant un baiser ainsi qu'un clin d'œil, clin d'œil qui brillait de malice.

CHRISTINNA - « On se voit en enfer mon ange. »
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MessageSujet: Re: La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris']   La journée avait pourtant si bien commencée.. [Chris'] EmptyMer 4 Nov - 15:35

Fait du bien au diable,
il te remerciera par l'enfer. . .


CHRISTINNA - « Bravo mon ange, j'ai bien faillit désespérer et croire que tu ne comprendrais jamais... »

___La vérité vient de notre capacité à exister. Il n'y a de bourreau que par la timidité maladive qui se cache dans les recoins de l'indifférence. Impersonnalité, ça sonne comme imperméable. Et je suis le gars le plus imperméable du monde. Et la vérité fait mal. On me l’avais pourtant souvent dis mais je n’en est jamais tenu rigueur. J’ai toujours eu peur d’être peur, une peur qui c’est vite retourné contre moi. J’avais avalé n’importe quoi de cette bouche. Et cette vérité, touche plus que les mots et elle recule , à chaque fois que la réalité s'annonce. Et ma langue va être transformées en boa.

___Le pardon n’est jamais facile. Mais La morosité est facile. La haine est facile. Mais le pardon, c’est dur. Parfois, les gens disent des choses qu’ils ne pensent pas ou font des choses qu’ils ne peuvent pas défaire. Parfois, nous faisons des choses qu’on ne peut défaire. Alors nous nous nourrissons pour affamer la douleur. Nous avons tous peur de quelques choses. Lui, d’être père. Elle, la solitude. Il l’avait fait souffrir, il avait jouer la carte de l’indifférence et elle avait perdu. Elle avait jouer la carte du mensonge et il avait perdu. Ils étaient au même point et pourtant il était encore anéanti, blessé et Peter pan l’a oublier. Et l’arme de son plus crime fut le mensonge. Le sien sera une aiguille ainsi il pourra lui décillait les pupilles et regardais son sang couler de ses yeux pour devenir de pâles orbites. Ou plutôt les larmes. Il l’avait déjà utilisait cette arme et il aurait du la détruire à temps et la laisser crever, seule. Pour l’oublier dans les ténèbres du parc. Mais il était revenu car l’autodestruction était son bonheur. Cela parait absurde. que ça peut tourner dangereusement, que ça peut tout aussi bien finir mal, mais c'est mieux comme ça. Les risques semblent distants, presque intouchables, et l'inaccessible devient à présent accessible. Un semblant de liberté pour rassurer les gênes mais jamais trop de larmes ne seront requises. Mais eux, les larmes ne coulaient pas. Ils ne couleront jamais. Se sont les mots qui voleront vers eux pour plus de désastre. Et il l’écoutait, ses mots comme un revolver nu. Il ne l’avait pas pardonné comme elle, elle qui ne l’avait pas pardonné. Ils aimaient se détruire pour être sur que l’amour ne s’installera jamais dans leurs relations. Entre l’amour et la haine il n’y a qu’un pas. Eux ils s’étaient loin de ses deux sentiments. C’était plutôt du mépris. C'est triste d'en arriver à ce stade alors que l'aventure débute à peine. Confiance passagère qui s'exile au loin pour naviguer dans des contrés qui jamais ne seront acceptées. Facilité remarquable, certes, ça doit être ça l'avantage principal. L'oubli, le "faire-semblant", puis recommencer encore. Mais cette fois, il n’y aura plus de retour en arrière, de recommencement. Il avaient tellement tiré chacun de nôtre côté, que voilà ; c'est fini. Il vaut mieux en finir que se déchirer, qu’il fallait mieux couper plutôt que se briser. Et on ne va pas se dire au revoir comme sur le quai d'une gare. Et c'était comme un morceau de jazz. Tu sais immédiatement si tu vas aimer ou non. Quelques notes d'introduction, une voix douce, quelques rimes, et le tour est joué. C'était exactement pareil. Au bout de seulement quelques secondes, je savais. Je n'avais pas besoin de plus de temps pour être sûr. Cette certitude que jamais je n'avais éprouvé. Tu était la fausse note qui perturbait l'harmonie. Mais il avait une époque ou l'acoustique était parfaite. Tout était beau, bien trop beau. Et tout est fini. Tu perd l’'homme le plus banal que tu croiseras dans ta vie. Ce qui fait sûrement toute mon originalité. J'ai une vie banale absolument palpitante. Je suis beau. Pourtant j'ai rien demandé moi. Je suis une sorte de mec, en fait. De la race des arrogants aux voies impénétrables. Le genre beau-parleur grossier mais charmeur. Mal rasé sourire placardé sur la gueule, sans savoir pourquoi. Qui déblatère une quantité impensable de conneries. Qui s'amuse. Beaucoup. Qui passe sa vie à s'amuser, en fait. Regarde, je m'amuse avec toi. Merde. Je prends mon pied. Je suis l'homme qui connaît les femmes. Qui les connaît beaucoup trop bien. Trop, tu remarqueras. Trop n'est pas très. Et trop est surtout chiant si tu veux tout savoir. Parce que du coup je m'amuse moins. Et moi je ne veux que m'amuser. Il existe un adage qui dit "toutes les mêmes". J'aime bien les mecs qui le crient à tort et à travers. Tas d'inconscients. Mais moi j'adore les inconscients. Je m'amuse, avec eux. Oui je sais, je ne suis qu'un môme à toujours m'amuser. Putain mais ouais, à quoi bon grandir si c'est pour devenir vieux et con. Puisque j'ai le choix je préfère rester jeune et con. Mais Peter pan m’a délaisser. Parce que malheur de malheur, Ô déception, enfer et damnation, tu es tombé sur plus intelligent que toi. Une femme de surcroît. Quelle honte n'est-ce pas ? Frappe, fais moi mal, remet moi à ma place. Tu sais que tes putains de racines sont en train de me gagner, toi la reine des glace, froide, stoïque, irrésistible, alors vas-y dépêche toi avant qu'il ne soit trop tard. Allez, donne tout ce que t'as, sois exécrable. Méprise moi. Mais maintenant c’est la fin.

CHRISTINNA - « Je ne suis pas une fille facile. Je ne suis pas stupide au point de ne pas prendre toutes les précaution pour ne pas tomber enceinte. Et jamais je ne m'attacherais à un homme, mais ça tu l'as compris tout seul. Quand au faite de te briser. Tu ne m'en voudras pas, tu rêve de faire la même chose. »

___La situation s’était retournée. On fait marche arrière et on retourne au début de leurs rencontre. Vouloir perturbé l’autre, avoir le contrôle, essayer de faire craquer l’autre. Et la scène tourne. Un jeune et beau couple, profitant de la verdure, annonçant un événement heureux. Dans un film, les deux amoureux s’embrasse et se disent je t’aime. Mais on était ni dans un film et la vérité s’était installé. Pas de bébé, pas de parent, pas de baiser et surtout pas de je t’aime. Tout cela n’était que mensonge comme leurs relations. Une relation dangereuse, détruisant. Proche de son oreille, elle lui susurrait ses mots mais sa ne me fait plus rien. Car tout es fini.

CAMERON - « J’aurais du te laisser crever. Crever de pleure, que ta cage thoracique se brise par tes pleures »

___Et je la regarderais mourir. Crever. Pour que seul mon visage sois son dernier espoir. Et elle entendrais mon rire perçait son cœur et on se retrouverais en enfer. Je l’avais vu dans un état de désespoir, de solitude et j’étais revenu. Je ne l’avais pas briser, détruit comme j’aurais du le faire. Non. J’était revenu. Je l’avais vu en crise, des larmes salé coulait sur son visage. Je ne l’avais pas consolé. Je l’avais apaisé. Mais elle était forte, elle aurait put le faire seule. Mais si c’était à changer, oui, je serais revenu. J’aurais fais marche arrière pour venir m’assoir devant elle. Oui, je l’aurais regarder dans les yeux. Oui je l’aurais saisit fermement par les épaules. Mais pour mieux la voir crever. Pour mieux la détruire. J’aurais ris, d’un rire amer, d’un rire joyeux de la voir souffrir. Ris à gorge déployé. Ris à ne plus pouvoir m’arrêter. Avec l’espoir qu’elle souffre, qu’elle … crève !


CHRISTINNA - « On se voit en enfer mon ange. »

___Ses yeux brillaient de malice, les miens de haine. « On se voit en enfer mon ange ». Le seul endroit ou ils se reverront. Il n’y aura pas de « Dégage ni de ne revient jamais vers moi.» comme un retour en arrière. Je n’en avait plus besoin. J’étais devenu insensible. Dans tous les sens du terme. Je ne ressentais plus rien. Ni la haine que j’éprouvais pour elle ni tout le reste. Épuisée. J’étais maintenant conscient que plus rien ne serait comme avant. Je ne donnerais plus jamais ma confiance comme avant.

TOPIC FINI :p
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